Petits poèmes en prose
Incomplète, car toujours en construction au gré des jours, avec sérieux, curiosité et humour.
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Petits Poèmes en Prose, Charles Baudelaire - Lettres I à XXVII
dimanche 20 décembre 2009
par Patrick Kuchard
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Sommaire
À Arsène Houssaye I. L’étranger II. Le désespoir de la vieille III. Le confiteor de l’artiste IV. Un plaisant V. La chambre double VI. Chacun sa chimère VII. Le fou et la Vénus VIII. Le chien et le flacon IX. Le mauvais vitrier X. A une heure du matin XI. La femme sauvage et (...) XII. Les foules XIII. Les veuves XIV. Le vieux saltimbanque XV. Le gâteau XVI. L’horloge XVII. Un hémisphère dans (...) XVIII. L’invitation au (...) XIX. Le joujou du pauvre XX. Les dons des fées XXI. Les tentations, ou (...) XXII. Le crépuscule du soir XXIII. La solitude XXIV. Les projets XXV. La belle Dorothée XXVI. Les yeux des pauvres XXVII. Une mort héroïque
“Petits Poèmes en prose” (ou encore Le Spleen de Paris, ou Poèmes nocturnes, ou Poèmes en Prose) est le titre d’un recueil posthume de poèmes en prose de Charles Baudelaire (1821-1867) établi par Charles Asselineau et Théodore de Banville.
Il a été publié pour la première fois en 1869 dans le quatrième volume des Œuvres complètes de Baudelaire publié par l’éditeur Michel Levy.
Les cinquante pièces qui le composent ont été rédigées entre 1855 (« Le crépuscule du matin ») et 1864. Une quarantaine d’entre elles ont paru dans divers journaux de l’époque ; les dix suivantes