plus descriptif
Les trois œuvres littéraires : Mon père je m’accuse, Le corbeaux en exil ainsi que SMITH-L’enfant de Noé sont tous des romans très sombres qui démontre de façon différente le thème de la souffrance. Premièrement, Mylaine Demers démontre de la misère tout au long du Roman à travers le personnage principal Maria. La misère est représentée du moment que cette jeune fille mère est envoyée au couvent et est forcée de donner naissance à un enfant qu’elle sera obligée de donner en adoption. Manipulé par la religion, Maria devait garder ceci un secret puisque l’amour avant le mariage était considéré comme un pêché et un sujet tabous. Vivant une vie sombre, Maria a vécu plusieurs injustices réservées aux filles mères lors des années 1940-1950. Sur une autre main, Le corbeaux en exil démontre la difficulté de la quête d’identité. L’auteur, confus lui-même, démontre une certaine incertitude du déroulement du son histoire ce qui rend les séquences du livre plus sombre. Il décrit les obstacles qu’a dû surmonter les gens de l’époque 1990 par rapport à l’obscurité des sujets qui n’était plus tabous, mais qui étaient tout de même nouveaux telle que : les jeunes qui quitte la maison, la liberté de s’exprimer, les athées et tout simplement ce qui n’était pas considéré normale auparavant – le changement. Michel démontre que la société de l’époque ont dû souffert les préjugés pour élimer et surmonté les sujets tabous. Enfin, tout au long du roman L’enfant de Noé ont peu observé la souffrance que vivaient la société lors de la Deuxième Guerre mondiale. Les juifs étant inutiles à l’époque, Joseph était abandonné par ses parents et était confié à Sully et au Père Pons, des inconnues qu’il ne connaissait guère. Vivant dans la noirceur Joseph à dû s’isoler de la société, mentir contre son vœu et d’accepter le fait qu’il ne reverrait peut-être plu ses parents. C’est évident que le jeune Joseph devait vivre dans la souffrance pour ce protéger