Pnl et gestion mentale
THIRY A., Ça y est, j’ai compris ! Méthodes d’études et stratégies d’apprentissage avec la PNL, De Boeck, Bruxelles, 2006.
DEMNARD D., L’aide à la scolarité par la PNL comprendre et résoudre les difficultés scolaires, De Boeck, Bruxelles, 2005.
GIRY M., Apprendre à raisonner, apprendre à penser, Hachette, (collection : Pédagogie pour demain, nouvelles approches), Paris, 1994, pp 92-138.
GOBERT R., Le syndrome de l’écureuil ou amasser des leçons, remplir des cahiers et après... ?, éditions Erasme, Bruxelles, 1994.
RAQUIN B., La PNL au quotidien, jouvence, Paris, 2004.
FRANÇOIS L., La gestion mentale et les mathématiques, [mémoire] HELHa, Leuze-en-Hainaut, 1996.
Les principes de la PNL selon Alain Thiry
1. Ce que je crois être le monde n’est que ma perception du monde.
Le langage verbal permet d’exprimer notre pensée mais par les mots, on n’arrive pas toujours à tout dire de manière correcte. Il existe deux sortes de mots : les connotés (vagues et imprécis, ils traduisent une idée générale) et les dénotés (ce sont des informations précises). Lorsqu’on utilise beaucoup de mots connotés, on s’ouvre à de très nombreuses interprétations entre le message reçus et émis. Pour être sûr d’avoir été compris, il faut que l’interlocuteur réexplique avec ses propres mots ce qu’il a compris.
2. Il n’est pas possible de ne pas communiquer.
L’enseignant doit apprendre à remarquer les moments de fatigue de l’apprenant ou les moments où l’apprenant est distrait ou perd le fil de ses idées.
3. La signification de ma communication est donnée par la réponse que j’en obtiens.
Communiquer, prononcer des paroles et s’exprimer par des gestes est important mais le message de retour permettra de savoir si le message est bien passé.
4. Le corps et l’esprit font partie du même système cybernétique