poijlj
FELICIE: J'ai les mains dans un état! Regarde!
ADELAIDE: Regarde les miennes. Une Cuisinière!
ADELAIDE: Quel crétin!
FELICIE: Tu peux parler fripouille! Sans le coup des meubles, nous aurions encore une servante. [Le père et la Bête apparaissent]
FELICIE : La Belle! C’est impossible. Mais d’où sors-tu ?
ADELAIDE : Quel collier magnifique !
LA BELLE : Prends le Adélaïde. Il sera bien plus magnifique sur toi.
[Alors que Félicie prend le collier, il se transforme en une loque repoussante.]
ADELAIDE: Laisse-ça tout de suite. Quelle horreur!
LE PERE: Ce que la Bête t'a offert est à toi. Il ne faut le donner à personne.
FELICIE: Alors, cette bête n'était pas féroce?
LA BELLE: Non, c'est une bonne bête.
ADELAIDE : Vous n'allez pas retournes?
LA BELLE: Si Adélaïde, j'ai promis. La Bête m'a laissée libre, et si je ne rentrais pas, elle en mourrait de douleur.
FELICIE: Vous l'aimez?
LA BELLE: Non, Félicie.
FELICIE: Allez, Belle raconte nous ton aventure ! Pourquoi tu veux rentrer chez le monstre ?
LA BELLE: Il m'a confié la clef de son trésor. Sa confiance en moi est complète. C'est moi qui serais le monstre si je ne revenais pas.
LUDOVIC: Quels sont les domestiques? En as-tu beaucoup?
LA BELLE: Ce sont des mains invisibles qui m'habillent, qui me coiffent, qui ouvrent et ferment les portes. Je ne vois jamais personne.
FELICIE: Et cette bête parle le langage des hommes?
LA BELLE: Oui. Elle parle comme vous et moi.
LUDOVIC: Est-ce qu'elle marche à quatre pattes? Qu'est-ce qu'elle mange?
LA BELLE: Il m'arrive de lui donner à boire... et elle ne me mangera pas!
FELICIE: Tu te rends compte? C'est incroyable!
ADELAIDE: