Travail sur Pétrarque

1. Arguments de François :
Nul homme n’est misérable par sa faute. C’est ce qu’il tente de démontrer en donnant comme exemple que la mauvaise santé, la mort des êtres chers, la prison, la pauvreté et bien d’autre ne sont que misère malgré nous. Un être malheureux ne peux vouloir le rester de son plein gré car personne ne veut souffrir. Nul homme ne voudrait s’infliger un tel supplice. Le malheur est, pour une grande majorité du temps, incontrôlable.

La plupart des hommes serait bien malheureux si ils leurs étaient interdits de pouvoir gouter au plaisir de la chaire. Malgré tous les efforts qu’ils peuvent y consacrer, il considère impossible de laisser les instincts des hommes de côté.

Son argumentation est basé sur le fait qu’il cherche une réponse sur le fait qu’il est malheureux et qu’il est incapable d’en trouver une. Le fait qu’il soit incapable de la trouver est la raison à laquelle il associe le fait qu’il n’est pas responsable de son malheur, étant donné qu’il ne connait même pas la cause de se malheur.

Il interprète aussi les malheurs comme étant des actions ou un empêchement d’un action qui viendrais de l’extérieur et non de l’intérieur ce qui veux dire qui ne viendrais pas de l’homme lui même mais d’une action auquel ce même homme n‘a aucun contrôle. L’exemple d’un homme perdant un être cher est l’exemple parfait pour démontrer que l’action n’a pas été causé par l’homme mais qui a pour effet de le rendre malheureux.

2. Arguments d’Augustin :
Les hommes sont misérables par leur faute car quiconque désire se délivrer de sa misère y parvient. Les arguments utiliser par Augustin sont d’un point de vue moraliste pour ainsi dire que le bonheur serait en lien avec la vertu et que tous les hommes sont capables de laisser tomber leurs désirs de chaires pour atteindre un niveau plus élevé, niveau auquel il n’y a plus de malheur.

Le bonheur n’est mérité que si on lui consacre notre volonté et il en est ainsi pour le malheur