Rapport de la nature et de la culture - philosophie
L’extrait s’articule autour d’un problème sur les rapports de la nature et de la culture. La thèse de départ est que ce qui fait un homme, c’est sa culture, donc la société dans laquelle il vit. Le premier paragraphe, dégage l’idée dominante de l’homme, sa part de nature puis ensuite à la suite du texte, nous pouvons le voir comme un homme qui fait partie de la culture et donc qui fera un effet sur la société dans laquelle il vit.
I – Le tout premier moment dégage tout simplement la nature de l’homme (ce qu’il est) A- Pour ce faire Jean Itard va d’abord nous dire que la limitation animale réside dans le fait que les humains en sont justement dépourvus.
1) D’emblée, l’auteur considère que ce qui fait l’homme, c’est sa nature. Cet homme est un des plus faibles animaux, il est « sans force physique », mais c’est aussi un des moins intelligent « sans idées innées ». Mais c’est aussi un homme qui est incapable de survivre (et donc de couvrir ses besoins vitaux) tout seul.
2) Il ne faut pas se faire d’illusion, cette culture est une des possibilités de survie de chaque individu. Même les primates supérieurs « les grands singes » ont peut être une intelligence symbolique, mais nous pouvons dire aussi que chaque individus qui n’ont pas reçu de culture sont « quelques peuplades errantes non civilisées ». Ceux-là, sont considérés comme inférieurs à cause de leur état physique et moral.
B – Points communs
1) Comme beaucoup d’animaux, l’homme est un animal social. Celui-ci doit s’intégrer à un groupe qu’il n’a pas choisi et ne peut être dans une société qu’il n’apprécie guère. Mais l’homme est indispensable dans une société, il doit apprendre à y vivre et à transmettre son savoir à ses semblables travaillant dans cette société.
2) Mais l’homme peut être aussi être un animal culturel, il doit faire savoir son potentiel, son savoir auprès des autres membres de la société. Il doit s’adapter à cette vie qu’il ne connaît