Résumé des nouvelles des Contes de la bécasse (édition Livre de Poche)
La Bécasse (texte introductif) (pp. 13-15)
Un vieux chasseur organise chez lui des soupers où le convive désigné par le sort a le droit de manger les bécasses mais doit raconter une histoire. Tous ces récits constituent Les Contes de la bécasse.
Ce cochon de Morin (pp. 17-30)
Un riche commerçant de Rouen a porté atteinte à la pudeur d’une jeune fille dans le train qui le ramenait de Paris. Il est désormais la risée de toute la contrée et se fait appeler « ce cochon de Morin ». Une connaissance, rédacteur en chef d’un journal et futur député, va chez la parenté de la jeune institutrice pour régler l’affaire. Ce bel homme, narrateur de la nouvelle, est séduit par la charmante demoiselle et réussit à la séduire. Le lendemain, l’affaire est arrangée et Morin est soulagé, mais il mourra deux ans après ne se remettant pas de cette infamie. Une dizaine d’années plus tard, le narrateur rencontre à nouveau Henriette Bonnel, mariée à un jeune notaire.
La folle (pp. 31-35)
Une vielle femme devenue folle à cause des coups du sort refuse d’obtempérer à l’ordre d’un officier prussien. Vexé, celui-ci la fait porter avec son lit au milieu des bois où elle meurt de froid et de faim.
Pierrot (pp. 37-43)
Une dame de campagne, paysanne relativement riche, s’est fait voler et veut dès lors acheter un chien pour éviter ce genre de forfaits, mais elle est avare et refuse donc de payer pour ce chien. On lui en offre un, Pierrot, toutefois celui-ci s’avère incapable d’aboyer. Devant qui plus est assumer une taxe cynologique, elle décide de s’en séparer en le faisant jeter dans une mine de marne. Prise de remords, elle y retourne avec sa servante, mais remonter l’animal coûte trop cher. Elles le nourrissent pendant quelques temps, mais le laissent bientôt mourir dès lors qu’elles constatent qu’un autre chien, plus fort que le petit Pierrot, y a été mis.
Menuet (pp. 45-50)
Un chasseur parle d’une expérience