Rédaction suite la parure
DEVOIR D ECRITURE N°1
- Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs!... Mathilde Loisel resta émue par la déclaration de Mme Forestier qui l'avait beaucoup choquée . Mathilde rétorqua à Mme Forestier: - Comment ça ? Vous voulez dire que cette parure ne vaut pas la vraie ? - Mais enfin Mathilde je n'aurais jamais pu m'offrir une parure qui coûte des dizaines de milliers de francs! Mathilde commençait à repenser à tous les efforts qu'elle avait fournit pour pouvoir retrouver une vie normale et reprit : - Vous rendez vous compte que pendant dix ans de ma vie j'ai dû m'acquitter de ce maudit bijou, ce qui m'a laissé dans la misère pendant de nombreuses années ? Mme Forestier était confuse : - Je suis navrée ma pauvre dame, mais maintenant il est tard et je dois rentrer chez moi, ravie de vous avoir revue, passez une bonne soirée ! Mathilde laissa s'éloigner peu à peu Mme Forestier , puis la rattrapa en courant et lui annonça d' une voix essoufflée: - Mais ! Pour qui vous prenez vous ? Maintenant que vous possédez ce bijou et que vous connaissez sa valeur, le plaisir de le revendre vous rendra encore plus riche que vous ne l' êtes. Jeanne commença à comprendre le mal qu'elle avait fait subir à ce couple : - Mais… Non ...! Je n'oserais pas..! Puis-je vous poser une question Mathilde ? Mathilde lui répondit avec irritation : - Je vous écoute ! - Comment avez-vous fait pour me remettre le bijou deux jours après ? - Souvenez-vous, à l'époque, nous étions plutôt démunis mon mari et moi mais pas autant qu'à ce jour. Il avait eu la chance d'être invité par un camarade à une réception où il n'y avait que des hommes d'affaires. J'ai longuement hésité à y participer et finalement, j'y suis allée avec lui. J'ai donc acheté une robe pas très chère afin de ne pas trop me ridiculiser. Souvenez-vous, nous étions d'assez bonnes amies et il me manquait quelque