Résumé de la scène 2 :
Le pur et innocent Hippolyte est furieux, le roi accuse son fils de l’inceste « Jusqu’au lit de ton père a porté sa fureur ». Le jeune Hippolyte est maintenant un ‘traître’ aux yeux de son père, ce dernier regrette de l’avoir mis au monde. Dans cette scène Thésée est très en colère, pourtant son fils n’ose pas lui dire la vérité on conclut que même dans ces situations déplorables, Hippolyte n’abandonne pas ses qualité et reste fidèle à sa pureté contrairement à son père. Son amour envers Aricie enfin dévoilé, ne réussie pas à le sauver.

Personnages :
Dans ce passage Thésée commence la scène et c’est lui qui la termine. A partir du « vers 1134 » les répliques deviennent égaux : 1-1 ; 2-2 ; 4-4. Ceci nous rappel la scène 3 de l’acte 1.

Analyse de la scène :
Au début de la scène, Thésée utilise la 3eme personne du singulier pour désigner son fils qui est pourtant devant lui, il utilise aussi le pluriel « des perfides humains » (V : 1035) cela nous confirme l’idée que Thésée est dégouté d’Hippolyte et ne veux plus le revoir.
La réplique la plus longue de Thésée dans cette scène est divisée en deux parties. La première partie est adressée à Hippolyte. Le mot monstre est employé ici pour montrer les sentiments de Thésée. Cette partie se terminer au « vers 1059 ». Ensuite il s’adresse à Neptune donc il le prie pour le venger contre se fils criminel.
Le mot fer indique l’épée d’Hippolyte oublier chez Phèdre et pour le père c’est ce qui prouve et dénonce son fils c’est donc la preuve de sa culpabilité. Et là Hippolyte se défend. Il rappel ses qualités et sa chasteté à Thésée. Le « vers 1107 » est le vers le plus parfait, un magnifique alexandrin (Le jour n’est pas plus pur que le fond de mon cœur) puis c’est le tour d’Hippolyte d’avouer. Il est amoureux d’Aricie « j’aime, j’aime, il est vrai » insistance (V : 1117).
Le champ lexical de la monstruosité domine dans toue la scène est surtout dans les répliques de Thésée. Enfin