Souffrance et connaissance

2220 mots 9 pages
OUM 13/10/09 Joëlle TES1 Philosophie. Sujet : Accroître sa connaissance, est-ce accroître sa souffrance ? {text:soft-page-break} On distingue la connaissance qui regroupe ce que nous avons appris et ce que nous apprenons de la vie et de par nos études à la connaissance qui représente le fait de savoir, c'est à dire l'acte de connaître. Ici, on peut s'attendre à un pluriel (accroître ses connaissances) mais ce n'est pas le cas. Le singulier indique donc qu'il s'agit de toute connaissance, non pas seulement ce que nous pouvons apprendre de la science, mais aussi du simple fait de connaître. La connaissance, à première vue, est quelque chose de positif. Prenons par exemple notre culture générale qui est censée s'accroître au fil du temps : cette culture est bien évidemment un bien, elle n'a donc aucune raison de nous faire souffrir. Cependant, si nous prenons l'exemple du jaloux; celui qui sera certain que sa femme a commis un adultère souffrira certainement plus que celui qui contourne ses doutes et se laisse dans ses illusions. C'est qu'il y a donc certaines choses que les hommes préfèreraient ne pas connaître, des choses qu'ils essayent de fuir constamment comme ce qui concernerait la vieillesse, le deuil ou encore la mort. Dans ce cas-là, l'accroissement de sa connaissance sera lié à l'accroissement de sa souffrance. La souffrance, quant à elle, représente l'état d'une personne qui souffre mais aussi, l'acte de souffrir. Ici, on parle de souffrance morale et intellectuelle et non physique. Mais comment la connaissance, qui est au départ perçu comme un bien, peut-elle en découler de la souffrance ? Peut-on remettre en cause l'avantage d'avoir une large connaissance ? Cela signifie t-il qu'il faut en connaître le moins possible pour que notre bonheur s'accroisse ? La connaissance regroupe l'ensemble des savoirs acquis tout au long de notre vie, elle est représentée en quelque sorte par la culture générale. En apprenant l'histoire, ou

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