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Définition : Le respect est une attitude d'acceptation, de consentement et de considération, souvent codifié, envers une personne, une chose ou une idée.
Avoir du respect pour quelqu’un c’est le traiter avec égards et estime afin de ne pas lui porter atteinte ou préjudice. Le mot « respect » vient du latin respectus, « égard », « considération ». Le respect peut être simplement une marque de politesse, une formule convenue, mais par ailleurs, le respect d’autrui s’impose par le sentiment et la reconnaissance que l’on a de sa valeur en tant que personne. Chez Kant, ce terme prend un sens particulier. Le respect ne relève pas du sentiment et de la sensibilité, mais de la loi morale érigée par la raison pratique. Le respect devient donc une obligation morale.
Définitions : • obéir : Verbe transitif indirect (latin oboedire, de audire, écouter). * Se soumettre à la volonté de quelqu'un, à un règlement, exécuter un ordre : Obéir à ses parents, à la loi. * Céder à une incitation, un sentiment, etc. : Obéir à ses instincts. * Répondre au mouvement commandé, fonctionné correctement : Les freins n'obéissent plus. Mes jambes refusent d'obéir. * Être soumis à une force, une action, une règle par une nécessité naturelle : Les corps obéissent à la pesanteur. • liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison.
Quand on obéit à un parent, à un professeur ou à un patron, on a bien en effet l'impression de perdre sa liberté, puisqu'on ne fait pas ce qu'on veut, mais ce que veut l'autre. L'antagonisme entre l'obéissance et la liberté n'est pourtant qu'apparent. La loi, qui m'empêche