A Alphonse Daudet le conteur d’histoire

Tout d’abord je tiens à vous remercier pour votre belle histoire, même s’il ne s’agit toujours pas d’un conte badin, je l’ai vraiment adoré. J’ai pu constater, Suite à la lecture de votre lettre, que la mélancolie ne vous a point encore quittée, j’espère qu’à la prochaine lettre le brouillard parisien ne vous atteindra pas. « La légende de l’homme à la cervelle d’or » a suscité en moi un grand intérêt. Au début de votre histoire, vous décrivez cet enfant si malheureux et ignorant la cause de son infortune que cela m’a attristé au plus au point. La découverte de son malheur est à la fois miraculeuse et dramatique pour son futur. Et le fait que ses parents ne l’autorisent pas à aller s’amuser avec ses amis de peur que quelqu’un vole leur bien. Oui car les parents sont plus attentif au bien de l’or que à l’enfance de leur fils, je trouve cela honteux. De plus il lui demande de l’or en retour de l’avoir élevé et nourri, ce qui est tout à fait normal, et le laisse partir après avoir reçu leur dû. Je suis profondément indigné par cela. La vie royale qu’il mena m’a fait un peu rêvée, dépenser sans compter, une source d’argent inépuisable… Mais penser cela est très naïf, car tout est éphémère. A ce moment là de l’histoire, j’ai eu peur pour lui en pensant ce qui pourrait lui arrivait et ce que le sort lui réservé. Son caractère avare qu’il a adopté pour survivre me fit de la peine. Le vol durant la nuit pas son soit disant ami me fit éprouver de la compassion envers ce pauvre homme l’homme à la cervelle d’or. L’Homme peut être très matérialiste et aveuglé par ce qu’il n’a pas ce qui le rend haïssable. Son ami s’est servi de lui et vola son or, c’est impossible de pensait que ses amis sont capables d’une telle chose et pourtant… Heureusement il trouva l’amour, ce qu’il me combla de joie. Mais la description de la dame est assez négative, elle semble naïve, et fragile. Sa mort me bouleversa beaucoup car il s’agissait de