En tant que praticien de l'haltérophilie ou en tant que coach, vous avez toujours de répondre aux questions qui sont liées à des blessures d'haltérophilie. Pour la plupart, la seule haltérophilie de promotion jamais entrer en presse grand public (au moins en Amérique du Nord) est en relation avec les blessures qui, à leur tour, favorisent l'haltérophilie comme un sport dangereux. La population en général est donc exposé à des événements extraordinaires et de faire la conclusion que les blessures se produisent plus fréquemment que dans d'autres sports. Beaucoup opinions sont partagées et quelques faits sont relatés. Je voudrais changer cela. Cet article est un look très en profondeur sur les taux et les types de blessures dans le sport.

Blessures en haltérophilie

Tout d'abord, dans un effort pour rendre cet article impartiale, nous devons admettre que les blessures en haltérophilie existent. Quelle est la fréquence de ces blessures? Comment sont-ils graves? Ce est ce que nous allons examiner.

Une étude réalisée par Gregg Calhoon et al. publié dans le Journal of Athletic Training en 1999 voulaient déterminer les types de blessures, les taux et les endroits des États-Unis d'élite haltérophiles masculins (formés à l'OTC, «centre d'entraînement olympique). Ils ont suivi ces haltérophiles plus de 6 ans. Ils ont conclu que les principaux sites de blessures était le bas du dos, les genoux et les épaules. Environ 70% des blessures étaient des souches et la tendinite et 60% des blessures étaient (à court terme) aiguë. Dans 91% des cas, nombre recommandé de jours de formation a raté était un jour ou moins. En d'autres termes, et contrairement à ce que la plupart croire, les blessures ne sont pas graves et semblent provenir de la surexploitation temporaire des structures corporelles. Cela signifie qu'il ne peut être évité avec la programmation appropriée et le temps de récupération supplémentaire.

Dans la discussion, Calhoon et al écriture: Kulund et al ont