Introduction :

La sexualité n’est pas un sujet tabou dans ma famille et avec mes amis, il arrive très souvent d’en parler ouvertement. Cependant il existe plusieurs côtés de la sexualité méconnue. La sexualité est très mal vue dans certains endroits, tandis qu’à d’autres on le jurait, mais ce n’est pas le cas. Les troubles du désir sont l’un des aspects non connus de la sexualité. Il est dit quand une personne a une diminution apparente de son désir (de sa libido). La sexualité est tabou un peu partout et a de certaine limite, l’utilisation de la répression sexuelle en est un exemple, utiliser par les parents ou nos amis, les moyens de répression sont une bonne façon de garder la sexualité tabou. Mais le tabou et les préjugés peuvent être présents en même temps par exemple au Rwanda. Je vous parlerai des troubles du désir, des stratégies et tactiques de répression de la sexualité et de la sexualité au Rwanda qui est fort surprenante.

Les troubles du désir :

Le trouble du désir est une diminution ou l’absence de désir pour son partenaire ou pour le coït lui-même, il est aussi nommé la disparité du désir sexuel. Celui-ci atteint généralement les femmes hétérosexuelles, car elles manifestent un niveau de désir plus faible que leur partenaire. Ces femmes font état d’une plus grande insatisfaction sexuelle et conjugale que les femmes qui ont approximativement la même libido que leur partenaire. La fameuse situation où l’homme demande et que la femme refuse favorise ce déséquilibre. Donc si l’homme se fat dire non trop souvent la femme abîme le désir de son partenaire, mais si au contraire elle accepte outre le fait que ça ne lui tente aucunement et détruit sont désir à petit feu. En effet les hommes réagissent à leur pulsion que fait naitre leur désir à la vue du corps de leur partenaire. Les femmes, elles s’attardent plus à la qualité des relations sexuelles. Le fait que les femmes ont des standards élevés augmente le risque de