Textes oral bac francais : la peau de chagrin : incipit (balzac)

305 mots 2 pages

Vers la fin du mois d'octobre dernier, un jeune homme entra dans le
Palais-Royal au moment où les maisons de jeu s'ouvraient, conformément à la loi qui protège une passion essentiellement imposable. Sans trop hésiter, il monta l'escalier du tripot désigné sous le nom de numéro 36.
- Monsieur, votre chapeau, s'il vous plaît ? lui cria d'une voix sèche et grondeuse un petit vieillard blême accroupi dans l'ombre, protégé par une barricade, et qui se leva soudain en montrant une figure moulée sur un type ignoble.
Quand vous entrez dans une maison de jeu, la loi commence par vous dépouiller de votre chapeau. Est-ce une parabole évangélique et providentielle ! N'est-ce pas plutôt une manière de conclure un contrat infernal vous en exigeant je ne sais quel gage ? Serait-ce pour vous obliger à garder un maintien respectueux devant ceux qui vont gagner votre argent ? Est-ce la police tapie dans tous les égouts sociaux qui tient à savoir le nom de votre chapelier ou le vôtre, si vous l'avez inscrit sur la coiffe ? Est-ce enfin pour prendre la mesure de votre crâne et dresser une statistique instructive sur la capacité cérébrale des joueurs ?
Sur ce point l'administration garde un silence complet. Mais, sachez-le bien, à peine avez-vous fait un pas vers le tapis vert, déjà votre chapeau ne vous appartient pas plus que vous ne vous appartenez à vous-même : vous êtes au jeu, vous, votre fortune, votre coiffe, votre canne et votre manteau.
A votre sortie, le JEU vous démontrera, par une atroce épigramme en action, qu'il vous laisse encore quelque chose en vous rendant votre bagage.
Si toutefois vous avez une coiffure neuve, vous apprendrez à vos dépens qu'il faut se faire un costume de

en relation

Balzac
91217 mots | 365 pages

Est−ce une parabole évangélique et providentielle ? N'est−ce pas plutôt une manière de conclure un contrat infernal avec vous en exigeant je ne sais quel gage ? Serait−ce pour vous obliger à garder un maintien respectueux devant ceux qui vont gagner votre argent ? Est−ce la police, tapie dans tous les égouts sociaux, qui tient à savoir le nom de votre chapelier ou le vôtre, et si vous l'avez inscrit sur la coiffe ? Est−ce, enfin, pour prendre….

montre plus
La vie d'Adèle
3033 mots | 13 pages

L’homme mort un parfait inconnu, car ma m ère avait honte du statu de clochard de mon vrai père ! Nous vivâmes 2 ans ensemble à vivre dans la rue et par une belle nuit de juillet une abeille me piqua l’oreille en chou-fleur, la droite étant sourde je ne l’avais pas entendu arriver ! J’étais allergique. Ma tête tomba, se cogna et... Alors, voilà, je m’appelle Rabyte Chouflague, et aujourd’hui je suis….

montre plus
Journal La Croix dat du 4 janvier 2013
846 mots | 4 pages

L'idée lui vient de partir, loin. Ce sera Paris. Après un court hébergement provisoire chez des amis, les rêves de vie meilleure tournent au cauchemar. « Nous avons commencé à dormir dans notre voiture en nous relayant : ceux qui étaient réveillés restaient à côté du véhicule, sur le trottoir », raconte le père de famille, ancien entrepreneur dans le bâtiment. Le couple et ses cinq adolescents découvrent les dispositifs d'urgence.….

montre plus
Histoire fantastique
1404 mots | 6 pages

Il s’agit d’un jeune homme qui s’appel Jean et qui vit dans une toute petite maison se situant dans le fond d’un vulgaire cul-de-sac sombre et délaissé. Cet homme ne sort jamais de chez lui, la seule chose que l’on peut connaître est son nom. Le reste n’est que rumeurs et commérages dans laquelle j’ai pu entendre diverses histoires à propos de cet homme, mais chacune d’elles sont différentes. Tels que ma voisine qui raconte qu’il s’agit d’un homme d’une vingtaine d’année mais qu’il est comme tout le monde, rien de différent, mis a part qu’il est aveugle ou encore le facteur qui, ce dernier, me disait que cet homme devait être un gangster ou bien un meurtrier, enfin, quelqu’un de malhonnête pour qu’il ne sorte jamais de chez lui.….

montre plus
Andréa
531 mots | 3 pages

Elle fut chassé du Palais et privé de tout ses titres. Craignant pour sa vie, et celle de son enfant, la jeune femme se réfugia dans une cité ou le Roi et ses sbire ne pourrait l'atteindre. Ne pouvant se permettre de donné naissance a un enfant sans père, et cela sans aucune condition sociale, ni terre lui appartenant, elle épousa le premier prétendant venu dont la situation l'intéressait. Ce ne fut autre que Sagnar Lannister, le régent de Kilsev. Quand le bébé naquit, l'homme était certain qu'il était de lui.….

montre plus
Percé theatre
1549 mots | 7 pages

Il vivait sur le mont Olympe aux cotés de son père et des dieux grecs. Un jour ou il avait prix forme humaine pour rendre visite à sa mère, il fit la rencontre d’une jeune personne, mais il ne savait pas qu’après cela tout aller changer pour lui. Percé marchait d’un pas calme, il percuta quelqu’un. PERCE : excuser moi je ne vous ai pas vu. Il releva la tête, puis sourit.….

montre plus
Brésil intro
358 mots | 2 pages

La dame qui nous accompagne nous souhaite une bonne journée pleine de soleil et s'en va en donnant rendez -vous à dix-neuf heures trente, au même endroit, pour repartir à Tours. Tous les gens partent vers la plage sans avoir une idée de ce qu'ils vont faire avec un temps comme ça. Mon mari réfléchit et demande à un passant où trouver l'église. Comme c'est dimanche il y aura surement une messe.….

montre plus
1265489
303 mots | 2 pages

J’ai trouvé que le dénouement de ce premier livre est vraiment parfait, je ne m’attendais pas à cela. J’attends avec impatience la sortie du numéro deux en poche.….

montre plus
Le bourgeois gentilhomme, HDA
449 mots | 2 pages

Ses maîtres comme son entourage se moquent de lui, et intriguent en flattant sa vanité afin d’en tirer avantage. Le dénouement voit triompher la vanité aveugle d’un bourgeois tourné en ridicule,….

montre plus
L'illusion comique, acte v, scène 5, 1639
7288 mots | 30 pages

Hors madame et moi, tout dort dans le palais. Bah ! L'autre va venir. La chose le regarde. Il a sa bonne épée, et que le ciel nous garde de l'enfer !….

montre plus
Theatre
542 mots | 3 pages

C’était insupportable, j’étais sûr que cet enfant était de baptiste, car germaine et Edmond richard avait les yeux noirs. Il avait fait un enfant à cette catin ! J’en revenais pas moi qui était sa femme et qui avait toujours désire avoir un enfant de lui j’en ai jamais eu. Et c étai pour cela que je les détesté tous les deux. Je me sentis humiliée et frustrée de n’avoir jamais rien fait et eu dans ma triste vie.….

montre plus
denis diderot
1592 mots | 7 pages

C’est une huile sur toile.  • Elle est exposée pour la première fois à l’exposition universelle de Paris ( 1937). Aujourd’hui , elle est à Madrid, au Musée de la Reine Sofia.….

montre plus
la précarité
1366 mots | 6 pages

Depuis leur arrivée, ils ont connu une dizaine d'hébergements à l'hôtel, jamais deux fois de suite dans le même département – actuellement, c'est dans l'Essonne – et toujours très loin de la capitale, où les enfants sont scolarisés. « Parfois, il suffirait d'intervertir l'hébergement de deux familles pour leur faciliter un peu la vie, mais le système est dans l'improvisation permanente », regrette Anissa, militante à l'association Droit au logement (DAL), qui suit le dossier des Latifi. Depuis 2010, les familles représentent plus de la moitié des appelants du 115 de Paris, devant les adultes seuls. Le Samu social de la capitale héberge à l'hôtel près de 20 000 personnes en famille, réparties dans toute l'Île-de-France. Il y a un an, elles n'étaient « que » 16….

montre plus
Anthologie sur le thème de l'amour
949 mots | 4 pages

Anthologie Le thème qui sera développé dans les poèmes suivants, est l’amour. Cette thématique est classique, peut être même répétitive mais rien n’est plus beau que l’amour. Ce sentiment nous envahit quand il est là et crée un vide quand il est absent. Il nous rend aveugle ou encore fou mais il nous comble. Sans lui la tristesse s’installe, accompagnée de la monotonie, alors qu’avec lui le bonheur et la joie nous envahissent.….

montre plus
Cocteau
598 mots | 3 pages

Je n’avais jamais aperçu mon reflet, il faisait tellement noir ici. J’avais comme la sensation de flotter dans cette demeure qui était mienne. Je n’avais aucun loisir, mis à part celui de me faire nourrir par une espèce de grande tige qui se déroulait jusqu’au plus profond de mes entrailles. Toutefois, je percevais comme des raisonnements à l’extérieur de cette pièce. Ceux-ci me rendaient folle à chaque fois et, par habitude, je me mettais à battre de tous mes membres et les parois s’élargissaient alors.….

montre plus