THérèse Raquin
Chapitre XXXII : l'explicit
Comment Zola rend il cette excplicit original ?
Thérèse Raquin est un roman d'Émile Zola qui a été publié en 1867. Ce roman est une œuvre naturaliste.Le naturalisme est un mouvement littéraire du XIXème siècle caractérisé par une puissante volonté de représenté le réel dans tous ses aspects. Des auteurs comme Émile Zola souhaitent donc présenter la nature humaine dans toute sa véracité. Émile Zola met en place les principes du naturalisme, car il considère que le roman a une valeur expérimentale. Cet excipit entraîne une « réconciliation » de Thérèse et Laurent dans la mort.
Dans cette explicit, les deux meurtriers ne pensent plus pouvoir vivre avec se mal qui règne en eux. C'est alors qu'ils découvrent les intentions de l'un l'autre (« A ce moment cette sensation étrange qui prévient de l'approche du danger fit tourner la tête aux époux, d'un mouvement instinctif »), chacun souhaite donner la mort à l'autre (« Thérèse vit le flacon dans les mains de Laurent, et Laurent aperçut l'éclair blanc d'un couteau qui luisait entre les plis de la jupe de Thérèse »). Les deux personnages, qui dans un premier temps s’arrêtent pour s’examiner comme pour s’assurer qu’ils pensent au même acte, sont conscients que l’heure fatidique est là « muets et froids », « lisant mutuellement leur secret dessein ». Et jusqu’au dernier moment, Zola veut montrer qu’il existe des individus qui ne trouvent leur bonheur que dans des actes démoniaques, la réaction des personnages « Ils échangèrent un dernier regard, un regard de remerciement, en face du couteau et du verre de poison ». Les deux personnages préfèrent accueillir la mort avec sérénité plutôt que de continuer « une vie de boue ».
A présent penchons nous sur la réaction du troisième personnage, Mme Raquin, qui assiste silencieusement depuis sa paralysie aux disputes du couple et qui souffre atrocement en silence depuis qu’elle a compris que se sont les assassins de son