Vitto une enfance à Genève

Une éclatante lumière me réveilla, j’ouvris les yeux et j’entendis le bruit d’une explosion. Il était trois heures du matin mon père vint dans ma chambre et me dit de descendre dans le l’abri anti-nucléaire. Trois heures plus tard nous pûmes remonter à notre appartement, au moins cette fois ce n’était pas ces horribles rêves remplis de cadavre mutiler qui avait la fâcheuse tendance de me réveiller aux beaux milieux de la nuit. Nous passâmes la journée à lire des livres que nous avions lu une bonne dizaine de fois, nous mangeâmes des rations militaires composer de bouille et de viande sécher après le diner
Ma sœur voulue encore une revanche aux échecs et encore une fois je l’ai battu et me frappai encore une fois par ce que j’ étais encore une fois trop distrait pour lui donner une chance de me battre mais bon, ça ne m’ a jamais dérangé car elle n’ avait pas assez de force pour me faire mal. Nous passâmes la journée à nous taquiner et à chahuter, puis papa disputa sœurette car elle avait essayé de m’envoyer son réveille à la tête et à travers le salon. Elle alla dans sa chambre pour bouder sans même toucher à sa ration militaire. Quelle qu’ heures plus tard j’entendis le bruit d’une fenêtre cassée, le bruit sourd d’une masse qui tombe et les hurlements de ma sœur, je courus vers la chambre de ma sœur avec mon père .Un soldat de la résistance s’était écrasé dans la chambre de ma sœur il était grièvement bléser mon père l’installa sur le lit de ma sœur avant de rendre son dernier souffle il dit…
- la guerre est fini le tyran est