Note de réflexion(dc1)

Comment traiter la dépendance à l’alcool et aux stupéfiants au sein de l’institution ?
L’alcoolisme est responsable d’au moins une hospitalisation sur cinq et représente la deuxième cause de mortalité en France après la cigarette. Il est possible de s’en sortir à l’aide de sevrage alcoolique à l’hôpital ou chez soi.
Depuis l’après-guerre, la prise d’’alcool prend une place de plus en plus importante dans notre société.
Bien-sûr, son côté festif reste un moyen d’échanger, de festoyer, de découvrir ou tout simplement de pouvoir rentrer dans la norme sous peine d’être un « has been »
Malgré tout, sa consommation à travers le temps est de plus en plus massive et de plus en plus précoce. Les changements dans notre société, vente en libre-service, manque de rigueur des vendeurs face aux mineurs, penser que sa consommation nous fait paraitre adulte, démission des parents à qui il n’est plus possible de faire face à de la violence, penser que cela peut nous faire oublier tous nos problèmes…..
Bref ! Notre société consomme !!!!
A cela on peut rajouter les produits stupéfiants (cannabis, shit, beuh, ganga….) qui ne font qu’amplifier le phénomène de désinhibition qui peut amener à de la dépendance.
Afin de pouvoir étayer ma réflexion sur la dépendance en institution, je commencerais par donner une définition de la dépendance au sens général.
Je développerais par la suite la notion de moyen physique, psychologique, médical que l’on peut mettre à disposition de l’institution pour le sujet.
Je citerais deux exemples ; un chez les adultes handicapés mental et psychique en ESAT, et le deuxième chez un adolescent de 17 ans scolarisé dans un lycée et vivant dans un lieu d’accueil.
Je conclurais cette réflexion en essayant d’orienter des questions en rapport avec l’équipe éducative les partenaires et le corps médical.

La dépendance : DIFFÉRENTS COMPORTEMENTS DE CONSOMMATION . LA DÉPENDANCE, ÇA COMMENCE QUAND ?

Une personne est dépendante