L'alcool
« 21 enfants sont hospitalisés par jour pour avoir trop consommé d'alcool. Des chiffres effrayants concernant le nombre d'admission de mineurs aux urgences en Angleterre en 2004, soit 7.579 hospitalisations. »¹ Un exemple parmi tant d'autres. Comment peut-on remédier à ce problème consternant ? L'interdiction de consommation d'alcool avant 21 ans peut être une possibilité. Or cette solution pourrait avoir certaines répercussions. Sous un plan dialectique, abordons, en différents paragraphes, cette problématique sous un point de vue positif, un point de vue négatif et une solution.
D'un côté, l'interdiction de consommation d'alcool avant 21 ans engendrerait une diminution nette des impacts néfastes de l'abus de l'alcool sur le comportement et le corps des jeunes. En effet, lors de consommation d'alcool, le rythme cardiaque et la pression sanguine ne restent pas inchangés. Les reins sont touchés, cela nous procure le besoin d'uriner d'avantage. L'estomac peut subir des inflammations ou hémorragies au niveau de sa paroi, qui peut donner des nausées. La peau perd de sa chaleur. D'autres parts, malgré que l'alcool empêche la capacité à se défendre, il apporte un sentiment de supériorité et d’invincibilité qui mène souvent à des conflits ou bagarres. Comme le disait Jean-François Revel : « Sans maîtrise des pensées on ne peut maîtriser ses actes. » L'alcool, lui, confisque la maîtrise de soi qui amène à des comportements inhabituels et souvent inappropriés. Les conséquences sont multiples : accidents de la route, comportements violents, rapports non-protégés, échecs scolaires, homicides, agressions sexuelles, suicides,... Le jugement, la réaction et la coordination sont principalement influencés par l'alcool. À long terme, le foie, le cerveau et l'esprit sont les cibles majeures. Pour exemple : « 15% des jeunes disent avoir consommé de l'alcool au moins 10fois sur les 30derniers jours. 55% des jeunes