L'arnacoeur
4 Qu'est-ce qu'une œuvre engagée?
9 « Nous n'avons pas besoin de connaître l'auteur pour comprendre et aimer son œuvre. On peut légitimement se passer de tout recours à ce que l'on sait de l'auteur en dehors de son œuvre pour examiner celle-ci.» (F. Van Rossum-Guyon, Critique du roman). Vous direz ce que vous pensez de ce jugement en vous appuyant sur des exemples précis tirés de vos lectures.
5 Un personnage médiocre peut-il être un héros de roman ?
6 Que veut-on dire lorsque l'on parle du «style» d'un écrivain ?
2 « Il n'y a pas de vrai sens d'un texte. Pas d'autorité de l'auteur. Quoi qu'il ait voulu dire, il a écrit ce qu'il a écrit. Une fois publié, un texte est comme un appareil dont chacun peut se servir à sa guise et selon ses moyens.» Comment comprenez-vous cette opinion de Paul Valéry ?
7 A La Rochefoucauld qui déclare : « Il est plus nécessaire d'étudier les hommes que les livres », George Sand semble répliquer lorsque, dans son roman Mauprat, elle recommande comme moyen de formation « l'étude des lettres, qui n'est autre que l'étude des hommes. » Quelles réflexions vous suggèrent ces prises de position ?
10 Il vous est sans doute arrivé de préférer au «héros» vertueux d'une œuvre littéraire ou cinématographique le personnage odieux dont il finit par triompher. Quelles sont, selon vous, les raisons qui expliquent l'attrait qu'exercent ces personnages odieux ?
3 Dans une enquête sur le livre et la lecture en France, on peut lire cette réflexion sur le roman : « Sujet permanent de discussions entre ceux qui professent que le roman doit exprimer ou représenter la vie et ceux qui, à l'inverse, estiment qu'il doit l'inventer. » Dans un développement