Éco droit
el n'a jamai lair trist, adoran s'ennivré de momen à vou coupé le souffle, el rêv souvent kil va l'emmené é donerè tt pr un mot, un gest tendr.. mais, cela el s'en gard bien, préféran joué l'indiférente juskà avoir le mal de lui...
' écoutez le bruit de son silence, de son sourire qui ne veux rien dire. il devient simple et naturel.. naturellement faux.. mais le soir fait basculer sa vie dans la pénombre, pleures de velour qu'elle abandonne à morphée.. elle s'oblige à ne plus avoir aucun regrets, à accepter. c'est son moyen d'être heureuse.. '
" Hélas avril en vain me voue a l'amour j'avais envie de voir en vous cet amour- la vie ne vaut d'être vécue sans amour mais c'est vous qui l'avez voulu mon amour
[...]
nous nous aimions le temps d'une chanson" elle n'est pas vraiment partie. on ne s'est dit ni adieu, ni peut-être, ni attends.. pas de dénouement. le vent a souffler trop fort. en rira t-on, comme des enfants qui étaient un peu trop gâtés.. pacte tacite, la promesse d'une belle vie, oublier pour ne pas en pleurer. une cigarette, cette chanson, un dernier