Apollon

toutes les cultures que ce soit avec l’épopée de Gilgamesh, (IIIe millénaire av. J.-C.) en Mésopotamie, les Vedas, le Ramayana ou le Mahabharata indiens, la Poésie dans l'Égypte antique la Bible des Hébreux ou l'Iliade et l'Odyssée des Grecs. Entre Apollon et Dionysos La poésie fut marquée par l’oralité et la musicalité dès ses origines puisque la recherche de rythmes particuliers, comme l’utilisation des vers, et d’effets sonores, comme les rimes, avait une fonction mnémotechnique pour la transmission

Jules Delavigne, Conclusions, 2008 Pétales bleues de la rose de l’aube Pétales bleues de la rose de l’aube acceptez les agissements de ma plume. Si je cours si tôt, ce n’est pas pour vous remuer. Apollon me tire de vos cotés, mais ne me donne guère de leçons. Quand j’aurai fini, nous irons ensemble sur les collines, au-dessus de la mer où le vent d’automne caressera nos visages baignés de lumière. C’est là-bas, pièce par pièce que nous regarderons

propre vie peu après avoir compris qui j’étais. LAÏOS, sa main serrant l’épaule d ‘Œdipe : Quel était son nom ? ŒDIPE : Jocaste. Elle était reine de Thèbes. LAÏOS, portant une main à sa poitrine et se détournant soudainement d’Œdipe : Ah ! Ô Apollon, Ô oracle, votre prophétie s’accomplit donc ainsi ! Cruel destin que de m’avoir mis en face de lui dans ce lieu désolé ! Que dire ? Que faire ? ŒDIPE : Pourquoi t’agite-tu ainsi ? Quelle est cette prophétie ? LAÏOS : Elle m’a été livrée par

et étreinte (v. 1) confirmée par la chute simultanée des 2 personnages, l.16, comme s’ils étaient enlaces. => verbe ≪ reconnut ≫, l.9 = une certaine familiarité de la déesse. Ref. à la mythologie, bien connue de Rimbaud, qui sous-tend ce récit : Apollon (dieu de la poésie) poursuivant Daphné qui fut changée en laurier pour lui échapper (l.14 : ≪ près d’un bois de lauriers ≫) // statue du Bernin (1622-1625) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Apollon_et_Daphn %C3%A9_%28Bernin%29 - chute finale (≪ tombèrent

l'utilisation des images que le poète se distingue le plus, sans doute, des autres hommes. Se rattachant à un univers complexe de symboles et de métaphores, il s'inscrit dans une pensée mythologique. Orphée, qui charma les dieux par sa poésie ou encore Apollon, dieu-poète, servent de références fortes aux versificateurs. Devenu un être éminemment lié au sacré, à la parole divine, au verbe créateur, le poète ne peut être que différent et supérieur aux autres. Poète-prophète, mage, qui parle aux dieux et

déesse du mariage, Zeus cache Élara sous la terre, où elle accouche. Pour cette raison, Tityos est parfois considéré comme un fils de Gaïa. À l'instigation d'Héra, qui finit par le découvrir, il veut faire violence à Léto. Mais il en est empêché par Apollon et Artémis, qui le criblent de flèches. Selon d'autres versions, il est frappé par la foudre de Zeus. Il est ensuite condamné à avoir le foie éternellement rongé par deux vautours dans le Tartare. (Ce supplice est à rapprocher de celui que subit Prométhée

périphrase/épithète homérique « au beau plumage » poule → Hélène (plus belle femme de Grèce) ton très solennel donné au combat : apostrophe et personnification de « Amour » au vers 3 vers 5 : les Dieux prennent part à la querelle (Athéna a soutenu les grecs et Apollon les troyens) La Fontaine donne de l’ampleur au combat : « querelle envenimée », « le Xanthe teint du sang des Dieux ». Cette noblesse du combat est réduite à néant au vers 6 : rappel → combat entre des coqs. A la guerre héroïque succède une querelle

lien subtile quʼentretiens Auguste avec le Dieu Apollon montre quʼil ne se tient pas avec lʼhumanité courante; cʼest une première dans lʼhistoire de Rome (même si son père, Cesar, avait décider de choisir des divinités comme protection, Venus par exemple). Apollon est un Dieu qui est entré assez tard dans lʼOlympe romain, cʼest une divinité plastique. Les liens quʼAuguste entretiens entre la politique et lʼart se font de 3 manières: avec Apollon, la mausolée (Grand bâtiment funéraire), et la

avec une simple mortelle s'en prit à Hercule. Elle demanda au démon de la folie de le piquer. Hercule devint fou et avec son arc, il tua ses enfants. Après s'être rendu compte de son crime, Hercule s'en alla, désespéré, à Delphes pour interroger Apollon, le dieu des arts. Le dieu lui répondit, par l'intermédiaire de la pythie que, pour se repentir, il devrait servir pendant douze années, son cousin Eurysthée, roi de Tyranthe. Hercule se rendit donc voir son cousin qui lui ordonna d'accomplir douze

6.1.2 Manuels généraux 6.1.3 Études savantes 6.2 Articles connexes 6.3 Liens externes La mythologie dans la société grecque[modifier] Mythologie et religion[modifier]Article détaillé : Religion grecque antique. Scène de libation entre Apollon et Niké au pied de l'omphalos de Delphes, copie romaine d'un original hellénistique de style archaïsant, musée du Louvre Hermès conduisant une chèvre au sacrifice, cratère campanien de Paestum, 360–350 av. J.-C., musée du LouvreLa religion grecque