Bonheur Conscience Philosophie

| | | Dissertation de philosophie « La lucidité peut-elle nous rendre malheureux ? » C’est une qualité, état de ce qui est lucide, ou de celui qui voit les choses nettement, qui conçoit clairement les questions. La lucidité a des bons et des mauvais côtés, elle n'est

En effet, on peut agir en vue du bonheur, qui est un des idéaux de l’homme, mais également pour les philosophes grecs antiques, un but moral quasi-inaccessible. Le bonheur individuel est ainsi la recherche dans l’eudémonisme (même s’il n’a pas de réalité), et la philosophie grecque donne à l’homme les moyens d’être l’artisan de son bonheur. On a dès lors des impératifs hypothétiques, c’est-à-dire des devoirs en fonction d’une fin, ici le bonheur. Toutefois le bonheur se situe surtout dans l’initiative

développe Diotime I dans le Banquet de Platon. Les dieux, qui ont le savoir à leur disposition, ne cherchent pas à philosopher puisqu'ils sont dans la connaissance. À l'opposé, les ignorants non plus ne philo¬sophent pas parce qu'ils n'ont pas la conscience de ce qui leur manque, ce savoir dont les dieux disposent et dont ils sont privés. Le philosophe, par son désir et la tension qu'il manifeste en direction de la sagesse, montre qu'il n'est pas dieu, puisqu'il recherche le savoir que les dieux ont

considéré comme le fondateur de la philosophie dite « épicuriste », l'une des plus importante écoles de philosophie de l'Antiquité. Dans sa célèbre lettre à Ménécée il développe les point d'une partie de sa théorie en matière d'éthique. En effet celle-ci restera bien connue en faisant figure d'une petit traité sur la définition de la notion de plaisir. Dès lors le philosophe développera l'idée de la nécessité atteindre un état dont l'absence de douleur justifirait le bonheur. Dès lors cette lettre saurait

le constat de la misère et de la grandeur de l’homme (liasses II à IX) qui développe une anthropologie augustinienne, telle qu’on la retrouve chez La Rochefoucauld. Suit l’examen de la nécessité de se tourner vers le Christianisme pour trouver le bonheur (X à XV), enfin est affirmée la vérité de la seule religion chrétienne et fausseté des autres religions (XVI à XXVI). Première partie: Misère de l’homme sans Dieu. Seconde partie: Félicité de l’homme avec Dieu. Autrement: Première partie: Que

philosopher et le bonheur: pour être heureux il faut pulvériser (réduire en poudre, atomisme) les opinions vaines qui, comme des fantômes nous font souffrir. b) Dans le préambule il insiste sur la nécessité d'accomplir l'acte de philosopher à tous les âges de la vie. Mouvement: Le texte commence par une affirmation et relie philosophie et santé de l'âme (1ère partie). La 2ème partie démontre l'affirmation. La 3ème partie tire deux conséquences: -nécessité de la philosophie pour le jeune

n'est pas contenu dans les faits mais dans le jugement qu'on porte.) Le jugement que je porte (jugement moral) est-ce le résultat de mœurs ou non? (quand on dit que le cannibalisme est mal est-ce à cause des habitudes (les mœurs) ou à cause de la conscience, la raison, qui dit que c'est mal?) B- les mœurs comme condition de possibilité du jugement moral Les mœurs: c'est ce qui est donné, ce qui est là autour de moi, ex: la famille (premier cercle de mœurs, possèdent habitudes, coutumes), l'entourage

faut bien utiliser son temps pour profiter de la vie et pouvoir être heureux et même temps il dit qu'il faut savoir laisser souffrir son âme pour cela.La tempérance est difficile à atteindre selon Montaigne, ce qui est difficile est de mélanger le bonheur au malheur sans trop en souffrir. Il ne semble pas avoir de mépris pour le corps il le voit comme en lien avec l'âme. Il dit : »Que celui qui veut écarter son âme (du corps) le fasse hardiment, s'il peut ». Il les associe donc bien, car pour lui

5. former sa propre opinion de l’ensemble. INTRODUCTION Jean-Paul Sartre, grand philosophe existentialiste du XXe siècle est apprécié par les uns et vilipendé par les autres. Ce père de l’existentialisme athée qui exposera sa philosophie dans des ouvrages divers est en butte à de nombreux reproches auxquels il essaie de répondre. Pour faire le point sur le sujet: “l’existentialisme sartrien: critiques, défense et bilan”, nous comptons définir et exposer globalement l’existentialisme

paraissent possibles. En désirant ce qui est possible, nous réglons le désirable sur l’accessible et ainsi, nous modifions notre rapport au monde sans nous résigner mais plutôt qu’être déçus devant notre impuissance à changer le monde, nous connaîtrons le bonheur qui résulte du pouvoir sur soi. 2) Désir et besoin Le besoin est nécessaire alors que le désir est contingent (ce qui s’est produit mais qui aurait pu ne pas se produire), facultatif. Le besoin doit être satisfait, il peut être comblé