Califat de Cordoue

Algérie) alors qu'elles menaçaient Kairouan (actuelle Tunisie) (printemps 742)25. Quand survient la chute des Omeyyades de Syrie (750), l'ouest de l'Empire échappe totalement au pouvoir central damascène. L'Espagne revient aux émirs omeyyades de Cordoue et le Maghreb se morcelle en plusieurs petits États indépendants (de 745 à 755). L'histoire des Idrissides est indissociable de la personne d'Idriss Ier, descendant d'Ali et de Fatima, gendre et fille du prophète de l'islam Mahomet, qui fuyant

commerce et ses habitants : 400 000 habitants, contre 80 000 à Paris (en 1200) et 20 000 à Londres. Aux environs de l'an Mille, l'Islam connaît bien des problèmes, même s'il poursuit son expansion. L'empire musulman se divise alors en Califats (Bagdad, Le Caire, Cordoue...) avant de retrouver une certaine unité, en Orient tout au moins au XIIème Siècle, sous la poigne de Saladin et face aux croisades. Il ne faudrait pas pour autant en oublier le reste du monde. Ainsi, en Chine s'épanouit l'empire

sous Constantin il devient interdit de dissoudre le mariage pour des motifs trop légers. Germanique : les motifs sont contrôlés, en effet la femme peut contester la répudiation dvt un juge (le mari peut écoper de sanction pécuniaire). 15) Le califat de Médine A la mort du prophète Muhammad en 632, ses compagnons désignèrent un des 1ers convertit : Abu Bakr. Mais l’élection d’Abu Bakr ne fait pas l’unanimité car Ali qui était le cousin du prophète était le seul descendant mâle du clan Hâchim

croisades mais des échanges existaient déjà. Au IX° s., le monde musulman est à son apogée (civi brillante, d'une grande curiosité scientifique, philosophique et littéraire) et maitrise les échange en Méditerranée. (monde hétérogène entre 3 califats: Bagdad, Cordoue et Le Caire). Au XII°/XIII°s., la situation se renverse. Les occidentaux se lance à la conquête de Jérusalem et vont former les 4 États latins d'Orients (présence occidentale en terre musulmane). Des échanges violents. L'appel d'Urbain

islamique et byzantine À partir du IXe siècle eurent lieu les premiers contacts avec le califat d'Al-Andalus. Avec l'avènement d'Al-Mansur, nouveau vizir de Cordoue, l'Espagne musulmane brille par sa violence et son intolérance religieuse. De nombreux juifs et mozarabes fuient l'Al-Andalus et un afflux de connaissances scientifiques et techniques arrive en Catalogne. En 985, Al-Mansur, le vizir de Cordoue, situé au sud de l'Espagne, attaque et pille Barcelone, emmenant avec lui de nombreux esclaves

par les arabes sous la forme dérivée Yebisah, quand la ville connue aujourd'hui comme Ibiza/Eivissa était désignée par les arabophones comme Madina Iabisa[3] Après trois siècles de domination musulmane qui virent les baléares dépendre du califat de Cordoue puis de la Taifa de Denia avant de devenir un émirat indépendant, Ibiza, Formentera et Minorque furent envahies par le roi norvégien Sigurd Ier de Norvège dit le croisé au printemps 1110 sur le chemin de sa croisade vers Jerusalem, après qu'il

des Abbassides. Descendant de ‘Alî, il prend part à des révoltes contre les Abbassides menées par des membres du clan ‘alide, notamment son frère Muhammad al-Nafs al-Zakiyya ou son cousin Husayn. Les révoltés, proclamant le droit des ‘Alides au califat, sont d’obédience zaydite, l’une des principales branches chiites. À la suite du massacre de Fakh en 786 auquel il échappe, Idrîs part au Maghreb où des missionnaires zaydites l’ont précédé. Au Maghreb central et à Volubilis, il est soutenu par

le prophète de celle-ci transmet les messages de Dieu à travers le Coran. Au VIII siècle l’Umma, la communauté des croyants musulmans, s’étend du sud de la Méditerranée, à l’Espagne en passant par l’Egypte et le proche Orient. Le Caire, Bagdad et Cordoue sont des villes musulmanes de centaines de milliers d’habitants, où s’organisent la vie politique et religieuse, mais aussi les grands quartiers commerçants de la Méditerranée, appelés les « Souks ». C’est en effet le commerce qui est à l’origine

relative sécurité à la péninsule pendant près de deux siècles. 3. VIIIe-XIVe siècles : l’Espagne musulmane  La monarchie wisigothique s’effondre d’un coup en 711, à l’arrivée des conquérants arabo-berbères. Au brillant règne du califat omeyyade de Cordoue succède au XIe s., un morcellement entre puissants seigneurs autonomes (taifas) qui ne peuvent résister aux offensives des petits royaumes chrétiens du Nord de la péninsule (León, Castille, Navarre et Aragon). Les Almohades sont défaits

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