Claustrophobie

voir des films, jouer au casino, des fêtes par les nuits, des dîners d'habits de fête et d'excursions à Rome, à Florence, à Pise et à la Corse. Tout a commencé à aller mal quand Isa a vu que la cabine n'avait pas de fenêtre. Elle a senti une claustrophobie et a commencé à crier. En plus, par les nuits il avait une manie, il fallait dormir avec la lumière allumée, puisqu'il avait peur de l'obscurité. Le lendemain quand nous naviguions par la Méditerranée j'entre une panique de voir tant d'eau autour

adultes « traumatisés » par leur naissance,  des troubles du comportement plus ou moins graves slies a leur leur histoire personnelle. Ils peuvent être d’ordre psychologique : manque de confiance, angoisses, troubles obsessionnels du comportement, claustrophobie, peur de l’abandon, agoraphobie, difficultés de communiquer, autisme etc... Ou d’ordre médical : migraine, céphalées, douleurs cervicales, dorsales, manifestations cutannees, etc.. « L’intentionnalité vitale existe chez l’être humain dès sa

qui succède dans la dernière strophe au “nous” avoue le caractère intime de la crise. 2. Le paysage du spleen a) Des figures d'enfermement: lignes horizontales : ciel bas, plafonds pourris, circulaires (v. 3), verticales, qui suggèrent la claustrophobie, une sensation d'écrasement (lourd, peser) et d'emprisonnement (cou¬vercle, métaphore du filet). b) Un espace double, qui gagne à la fois l'univers (vision cosmique du cercle de l'horizon et de la terre comme cachot) et l'esprit, jusqu'à les

animal. Alice, prise de panique, plonge dans la piscine. La scène se situe dans un décor fermé, Alice se retrouve forcée de nager pour rester à la surface. Les gros plans sur son visage nous entrainent à nous identifier à elle et un sentiment de claustrophobie nous envahie. Les grognements de la panthère sont amplifiés, tout comme les cris perçants d’Alice. Les ombres autour de la piscine, ainsi que les reflets de l'eau sur les murs et le plafond, renforcent l'impression d'enfermement. Alice semble

et font mal de tête « se cognant la tête ». Il y a aussi nombreuses implications de l'angoisse ; cela fait avec les images, comparaisons, et allégories qui décrient cette atmosphère. Dans les 3 dernières strophes, on la vois avec la notion de claustrophobie grâce à l'image de la « chauve-souris qui se cognée à des plafonds pourris ». Aussi au vers 15, par exemple, on voit les « esprits errants » ; on imagine un appariations, un fantôme qui nous hante sans cesse. Ces choses expriment donc ici la malheur

(aiguille) → 2 - Araignées → 23 - Masques (clowns,poupées) → 5 - Phobie Scolaire → 2 - Chien → 2 - Insectes → 9 - Peur du vide → 5 - Claustrophobie → 1 - Requin → 4 - Phobies des Catastrophes Naturelles → 2 - Nécrophobie → 1 - Tripophobie → 2 Pour les personnes entre 19 et 30 ans : 5 réponses - Araignées → 1 - Peur de la Foule → 1 - Insectes → 1 - Peur du vide → 1 - Claustrophobie → 1 Pour les personnes entre 31 et 50 ans : 48 réponses - Araignées → 10 - Masques (clowns,poupées) → 1 - Peur du vide → 6 -

L'angoisse : De nombreuses images, comparaisons et allégories font basculer le lecteur vers une atmosphère fantastique, angoissante. Cette angoisse est introduite, dans les 3 dernières strophes avec la notion de claustrophobie inhérante à la précédente référence. Cette claustrophobie est vécue grâce à l'image de la " chauve-souris qui se cognee à des plafonds pourris ". Au 5éme paragraphe, les sons longs en " en " et " on " éternisent l'angoisse. Au vers 15, par exemple, " esprits errants

moral du poète nous permettent de préciser la notion de spleen: il s'agit d'une angoisse toute puissante qui triomphe de l'espoir et de toutes les tentatives d'évasion du poète (son idéal vaincu). C'est un mal physique qui provoque une angoissante claustrophobie; moral, il atteint toute les facultés de l'esprit; il est enfin métaphysique dans la mesure où il rend le poète incapable de trouver un sens à sa vie et le condamne à une prostration résignée et souffrant Emprisonnement Souffrance Mort

cafétéria lui acheter un peu de lecture, avec lui elle se sent rassurée. Nous attendons avec l’infirmière que le mari de Me. J arrive pour que cette patiente puisse se calmer. L’infirmière demande à Me. J si elle a un traitement contre cette claustrophobie, ce à quoi elle répond qu’elle prend un traitement antidépresseur quotidiennement le matin et lorsqu’elle a une crise d’angoisse elle doit prendre un autre médicament. Seulement ni elle, ni son mari ne se souviennent du nom de ces deux médicaments

verbe « peser ». Impression confirmée par le vers monosyllabique dur « quand le ciel bas et lourd » et par l'assonance en (e) sur « ciel », « pèse », « couvercle » -Réduction de l'espace + image de la chauve souris qui se cogne = sensation de claustrophobie angoissante. -Comparaison chauve-souris / angoisse = angoisse car pour B, chauve souris = inverse de l'alouette qui est l'oiseau de l'espoir. -Les filets semblent resserer leur emprise sur le cerveau du narrateur qui renonce à l'espoir