Cognition

démarquent : La conception mentaliste: Elle à été présente dès le début de la psychologie. Elle consiste à expliquer les comportements par les cognitions, c'est-à-dire, les pensées. Elle pourrait rapidement se résumer par cet exemple très connu « Je fais ce que je pense ». La conception matérialiste: Elle est plus récente et consiste à expliquer les cognitions par les comportements ou pratiques. Ce qui revient à « je pense ce que je fais ». On parle aussi de théorie de la rationalisation dans le

affective du morceau, le langage émotionnel de la musique. On retrouve là l’éternelle dissociation du cœur et de la raison: le cerveau, sain ou accidenté, distingue entre l’émotion et la cognition. La musique affecte et l’une et l’autre, mais par des voies séparées. C’est ce qui explique que, chez Céline, la cognition puisse être perturbée, cependant que l’émotion reste intacte. L’intuition suggère que l’émotion parvient au cerveau de façon plus immédiate, plus directe que toute autre information

et mystiques du mot, le discours scientifique a préféré utiliser des termes plus neutres comme ceux de facultés ou processus mentaux ou encore psyché (notamment dans les approches d'inspiration psychanalytique) ou cognition. Dans les sciences cognitives contemporaines, le terme cognition ne renvoie pas seulement aux facultés de connaissance et d'intelligence de la pensée mais bien à l'ensemble des processus psychologiques à l'œuvre dans l'esprit humain (et non-humain), incluant la perception, la motivation

relevant du même niveau d’identification. C) La théorie de Festinger. Pour mieux comprendre les effets cognitifs lors d’un acte problématique nous ferons appel à la théorie de Festinger (1957). Selon lui lorsqu’il y a désaccord entre des cognitions un état de tension se crée et appel une réduction. Cette réduction une fois réussie est gratifiante. Il y a trois spécificités à cette théorie : -Le statut de la motivation. -L’importance

CHAPITRE 1 : Qu’est ce que la psychologie cognitive ? A – Psychologie cognitive, psychologie de la cognition B - Psychologie cognitive, psychologie cognitiviste C - Psychologie cognitive, psychologie du traitement de l’information Qu’est ce que la psychologie cognitive ? Définir la psychologie cognitive c’est déjà en parler et c’est déjà difficile. Les objets étudiés par la psychologie scientifique => la pensée, les sentiments, la mémoire ne peuvent pas être définis à priori en dehors d’un

Définition de la cognition Def générale La cognition est la capacité d'attribuer du sens via le mental et de produire de nouvelles connaissances via l'interprétation. Une communication va être la rencontre de deux cognitions : celle de l'émetteur, pour réaliser la mise en forme de l'information et aboutir à la réalisation d'un message et celle du récepteur, car le message nécesite un présupposé pour qualifier l'information et l'intégrer. L’éthymologie du terme "cognition" est "cognitio"

et direct entre la personne et son milieu et cela permet à celle-ci de prendre conscience de ses besoins et des occasions qu’offre le milieu pour les satisfaire. 4 niveaux de conscience // L’appréhension du réel : la sensation, la perception, la cognition, (la métacognition?) Pour être conscient de quelque chose, il faut évidemment être capable de percevoir ce «quelque chose» avec ses sens et de lui donner une signification. Pour être conscient de quelque chose, il faut en outre être capable de

présence. Suivant cette définition, lorsque deux éléments (ou cognitions) sont en contradiction, ou ne devraient pas être associés, cela produit un état d’inconfort psychologique que l’individu va être motivé à réduire par différentes stratégies. La ”dissonance” ressentie par le sujet comme un malaise est fonction de plusieurs variables : « l’écart entre les cognitions, l’importance de chacune des cognitions et le nombre de cognitions dissonantes en présence » (Partick Gosling & François Ric, 1996

cognitivisme car on s’intéresse aux connaissances et aussi au contenu et à leur organisation. A l’époque, l’organisation est une organisation essentiellement évaluative. Cette organisation évaluative est appelé par Zajonc et Markus une organisation en cognition chaude. On part de l’idée que les connaissances que l’on se forge sont au minimum organisées autour d’un axe évaluatif de ce genre. On va parler d’une consistance évaluative pour désigner le fait que tout est bien équilibré et cohérent. Ce qui régule

progressivement ces attributs dans les schémas mentaux que constituent les images des marques. Ceux-ci se créent et se structurent en fonction des interactions avec les objets (Johnson, 1987). Cette approche se situe dans la cadre de «l’embodied cognition» qui postule que la connaissance et les pensées se forment à partir des interactions physiques avec l’environnement (Glenberg, 1997 ; Glenberg et al., 2003). Ainsi, les fonctionnalités liées au design constituent pour certaines marques un avantage