Démodocos

Le cheval de troie bvvvvvv v v v v v v v v v c v v v v v v c c c c v v v v v v v v v v vj k l owodkfbvdjeuzizisk dheizkdjd dhudjdcd duidjd d fjdkbd dvdjdbd d dhjdvd dvdvd dvdvd dUvdvdvdvdvd fhrjejejjrbr e d d d d d d d d d d d d x w x f x w s z f g w s r t f d z 3 g s 2 t t dz j de faire une idée de la semaine prochaine. Le efficace. Il y a un peu de temps en temps réel. Il y a un peu de temps en temps réel. Il y a un peu de temps en temps réel. Il y a un prix très bien et le développement

Commentaire du chant 5 de l’Odyssée. L’extrait étudié, est un passage tiré du chant 5 de l’Odyssée d’Homère. Selon la légende, Homère fut un aède aveugle, et l’auteur unique de l’Iliade et l’Odyssée. Deux œuvres formées à partir d’une réunion de morceaux épiques d’origines et d’époques différentes arrangées selon un plan logique. Les ouvrages ont vraisemblablement été transférés à l’écrit à partir du 6ème siècle avant J-C. Le chant 5 porte sur le voyage d’Ulysse, et plus précisément sur son départ

orateurs accrochent à ce qu’ils récitent, comme nous pouvons lire dans le chant VIII, V.43, page 125: « Vous manderez Démodocos, divin aède, auquel un dieu donna de nous charmer de son chant, quel que soit le thème qu’il choisit. ». Les aèdes dans leurs chants font vivre la gloire, l’histoire du héros qui n‘est plus, ils la racontent comme s’il l‘avait vécu, comme le message d’Ulysse à Démodocos nous le prouve, chant VIII, V.489 à 491, page 137: « tu chantes avec un grand art le sort des Grecs, tout ce qu’on

grande partie : D’une part L’aède, puis L’homme ingénieux et pour finir Le reflet de l’humanité. On présente en tant qu’aède mainte fois, il en devient un d’ailleurs, lorsque celui-ci prend la suite des récits contés aux Phéaciens par l’aède Démodocos. Sa présence dans L’Odyssée pratiquement constante, met à égalité son rôle de personnage et d’aède ; le premier chant fait une première approche montrant l’éloquence de la parole du personnage : « Ô muse !!! » (Chant I, vers 1) étant des paroles

par une invocation à la muse à qui le poète demande de conter l’histoire d’Ulysse : la source de la parole n’est pas le poète directement, mais la muse. Il en va de même de la parole du personnage de Démodocos présent au chant VIII du poème. Présent à la cour d’Alcinoos, roi des Phéaciens, Démodocos est présenté comme un « divin aède, auquel un dieu donna de nous charmer/ de son chant ». Et l’aède chante si bien, les épisodes de la guerre de Troie ou les aventures des Olympiens qu’Ulysse est forcé

. | | VIII | Jour 23 | Au palais en Phéacie | -Banquet en l’honeur d’Ulysse, rassemblement (v.1-61)-Premier chant de l’aède Demodocos (Querelle d’Achille & d’Ulysse) Ulysse pleure, seul Alcinoos le voit (v.62-103)-Jeux sportifs -> Euryale provoque Ulysse.- 2e chant de Demodocos (Les amours d’Arès & d’Aphrodite) (v.266-366)- Danse puis 3e chant de Demodocos sur le cheval de Troie à la demande d’Ulysse. Il pleure et Alcinoos pose des questions (v.485-586) | | IX | Jour 23Jour 1Jour

décrit son séjour chez Calypso puis sa navigation jusqu'en Phéacie et l'accueil que lui a fait Nausicaa. La conversation et le repas terminés, Ulysse passe la nuit au palais. Le jour suivant, Alcinoos invite Ulysse à un banquet en son honneur. L'aède Démodocos chante la querelle d'Ulysse et d'Achille au temps de la guerre de Troie ; Ulysse ne peut retenir ses larmes à ce souvenir, mais il les dissimule et seul Alcinoos s'en rend compte. Pour changer les idées de son hôte, Alcinoos ordonne des jeux improvisés

auprès des Phéaciens, par exemple, chez qui il arrive après avoir quitté l’île de Calypso et subi une terrible tempête, puis dans son île d’Ithaque, où ces marins l’ont ramené. Chez les Phéaciens, d’ailleurs, lorsqu’il prend le relais de l’aède Démodocos pour conter ses aventures, il relate les multiples travestissements dont il a usé en diverses péripéties : paradoxalement, son discours reproduit et revendique alors les mensonges antérieurs. Pour analyser le personnage et ses aspects troublants

d'être raconté Le mot grec epos signifie « parole ». Est « épique » tout ce qui mérite d'être dit à haute voix en public, dans le présent et pour l'éternité. Ainsi, au chant VIII de l'Odyssée, dans le palais d'Alcinoos, est mis en scène un aède, Démodocos, à qui l'on demande de chanter « la gloire des hommes », et un « récit dont le renom touchait alors le ciel » (VIII, v. 72-73). Cette parole de « gloire » et de « renom » a presque une valeur divine, comme l'indique le terme « ciel », et elle est

sont plus. D'où l'importance accordée à leurs chants! La parole ici a un pouvoir commémoratif, pouvoir exacerbé par un muse, qui inspire l'aède. Malheureusement il peut arriver qu'en contre partie elle lui demande quelque chose, ce fut le cas pour Démodocos, l'aède des phéaciens, qui perdit la vue en contre partie de l'aide d'une muse. Il en est d'ailleurs d'autant plus respecté: un héraut est constamment à son service, il est ses yeux. Son rang d'aède lui ouvre les portes d'innombrables avantages: