Dopamine

dopaminergiques et une durable sécrétion de dopamine qui contribue à une intense sensation de  plaisir.    Mais la morphine a un inconvénient majeur : elle a les mêmes caractéristique qu’une drogue  (tolérance, dépendance psychique et dépendance physiologique). En effet, la morphine et l’alcoïde  principal.      3­Les circuits de récompense    Il existe au niveau du cerveau des neurones qui secrètent un neurotransmetteur impliqué dans les  « circuits de la récompense « : la dopamine.      3­1­Princie de fonctionnement d’un circuit  de récompense 

dopaminergiques sont suractivés, de sorte qu'ils libèrent davantage de dopamine. Un autre phénomène renforce cette production : l'alcool favorise la libération de substances opioïdes endogènes (ou morphine endogène) qui ont leurs récepteurs sur les neurones GABAergiques. Quand elles se fixent sur ces récepteurs, elles agissent sur ces neurones GABAergiques qui cessent dès lors d'exercer leur action inhibitrice sur les neurones dopaminergiques. La dopamine est produite en abondance ( ...). D'après cerveau &

Chaque drogue agit sur le cerveau à sa manière, en stimulant certaines parties du cerveau, et en libérant certaines substances analogues à celles créés par le cerveau lui-même. Cependant, toutes ont un point commun, l’augmentation des effets de la dopamine, ou d’autres neuromédiateurs du corps humain. Cette substance est essentielle à la survie de l'espèce humaine, en effet elle est responsable de la sensation de bien-être et de plaisir chez l'Homme. Il faut savoir que les messages du cerveau circulent

au début du XXème siècle, furent l’acétylcholine et l'adrénaline, un peut plus tard on déterminera, les monoamines ( dopamine, adrénaline, noradrénaline,sérotonine, histamine) ainsi que les acides aminés ( glycine, GABA, etc.) Leurs rôles est fondamental dans la neurotransmission, et chacune de ces substances à une fonction particulière sur l'organisme. Par exemple, la dopamine agit sur le contrôle du mouvement et de la posture. Il module aussi l'humeur et joue un rôle central dans le renforcement

dans la fente synaptique. De plus, la fréquence des potentiels d'actions du message nerveux crée dans le neurone à dopamine est identique à celle du message nerveux du neurone à sérotonine. On en conclut que la quantité de neurotransmetteur synthétisé et libéré dépend de la fréquence des potentiels d'actions. Le message nerveux transmis du neurone à sérotonine vers le neurone à dopamine est identique. 0 à 4h après la prise d'ecstasy, on constate qu'une plus grande quantité de sérotonine est libéré

peu à peu des gestes rigides, saccadés et incontrôlables. Les cellules de cette zone produisent de la dopamine, un messager chimique qui permet le contrôle du mouvement, mais qui agit aussi dans la sensation de plaisir et de désir. La mort des cellules de la substance noire crée un manque de dopamine. Normalement, le contrôle du mouvement résulte d'un équilibre délicat entre les quantités de dopamine et d'acétylcholine (un autre messager chimique). Si l'équilibre est rompu, des tremblements, de la rigidité

niveau des neurones. 2.3 Le système de récompense Dans le cerveau, il existe une zone dont le rôle est de récompenser la satisfaction des besoins vitaux comme manger, se reproduire, dormir, en libérant des neurotransmetteurs spécifiques tel que la dopamine. Cette zone est appelé le circuit hédonique ou système de récompense. Il fait partie du système limbique et comprend l’air tegmentale ventrale (ATV), le noyau accumbens, l’amygdale et le cortex préfontal. 2.3.1 Le système limbique Le système limbique

la cocaïne sur la concentration en dopamine extracellulaire Les résultats ci-dessous ont été obtenus chez des rats à qui on a injecté de la cocaïne. Une sonde très fine est implantée dans une région bien précise du cerveau du rat et reliée à un système permettant de mesurer en permanence la concentration en dopamine dans un liquide qui entoure les neurones. D’après The journal of Neuroscience. Document 2 : Action de la cocaïne sur les neurones à dopamine Des expériences ont permis d’enregistrer

drogues (héroïne, nicotine, alcool, cocaïne, ecstasy) possèdent un point commun ; elles augmentent la libération de dopamine. Doc.1 Localisation de l’action des drogues sur le « système de récompense » Neurone cérébral activateur des neurones dopaminergiques Alcool, nicotine + – Message activateur Message inhibiteur Neurone se projetant vers le cortex frontal + – Neurone à dopamine Interneurone inhibiteur à GABA Interneurone enképhalinergique Morphine, héroïne + Cocaïne, amphétamine, ecstasy

noyau accumbens. Le neurotransmetteur qui assure les connexions entre les neurones est la dopamine et celle-ci va stimuler les neurones et ainsi produire la sensation de plaisir qui est vu comme une « récompense ». Elle va aussi stimuler la partie du cerveau qui est à l’origine de la mémoire et c’est donc cela qui va faire comprendre cette sensation et ainsi pousser l’Homme à la reproduire. Cette dopamine est secrétée constamment sans quoi nous sentirions une sensation de souffrance. Elle est secrétée