Fait On Son Devoir Crainte Du Regard Autrui

faut dire le devoir dtermine le vrai PAGEREF _Toc194758024 h 5 2. Comment le dire mythe et religion PAGEREF _Toc194758025 h 6 C. Lide de devoir absolu PAGEREF _Toc194758026 h 7 D. Morale et socit PAGEREF _Toc194758027 h 8 II. La morale du devoir PAGEREF _Toc194758028 h 8 A. Le dontologisme kantien PAGEREF _Toc194758029 h 8 1. Lintention bonne PAGEREF _Toc194758030 h 9 a. La seule chose vritablement bonne est une bonne volont PAGEREF _Toc194758031 h 9 b. Acte conforme au devoir et acte par

avec méthode, logique et ordre (laissez un jardin livré à lui–même et il deviendra un terrain vague avec plein d’herbes folles (→ notez l’adjectif !) et alors ce jardin, on ne le trouvera pas beau car il ne correspondra pas à l’idée que la raison se fait d’un jardin : ordre et beauté ! Beauté car ordre (belles allées, arbres taillés, bassins aménagés, rangées d’arbres symétriques, lignes droites, courbures étudiées …etc.). La raison et son ordre, on les retrouve partout : en logique, en mathématiques

l’on a causé à autrui. Cela veut dire que la responsabilité civile est une source d’obligation à côté des contrats. Pendant longtemps, la responsabilité civile a connu de tels bouleversements qu’elle est devenue une matière autonome, elle s’est complexifiée, elle a changé, elle a mis en œuvre des logiques propres. C’est ce qui explique qu’au sein des universités, le droit des obligations tend à se dissocier entre droit des contrats et droit de la responsabilité civile. Le contrat fait partie des :

ici Rousseau : [C]’est par l’activité [des passions] que notre raison se perfectionne ; nous ne cherchons à connaître que parce que nous désirons de jouir, et il n’est pas possible de concevoir pourquoi celui qui n’aurait ni désirs ni craintes se donnerait la peine de raisonner. Les passions, à leur tour, tirent leur origine de nos besoins, et leur progrès de nos connaissances ; car on ne peut désirer ou craindre les choses que sur les idées qu’on en peut avoir, ou par la simple impulsion

Platon: Que, répondis-je, le père s'habitue à devoir traiter son fils d'égal à égal et à craindre ses enfants, le fils s'égale à son père, n'a plus honte de rien et ne craint plus ses parents, parce qu'il veut être libre ; le métèque s'égale au citoyen et le citoyen au métèque, et la même chose pour l'étranger. C'est bien ce qui se passe, dit-il. À tout cela, dis-je, s'ajoutent encore ces petits inconvénients : le professeur, dans un tel cas, craint ses élèves et les flatte, les élèves n'ont cure

retourne contre l'objet "moi". Nous sommes alors face à un étrange et dangereux paradoxe car la peur n'implique-t-elle pas, sinon la destruction, la fuite de son objet ? Alors, si nous avons le pouvoir de nous effrayer nous-mêmes, en avons-nous le devoir ? Étudions d'abord cette interrogation; il y a une ambiguïté au niveau du verbe : - avons-nous la capacité de ressentir ce sentiment ? ou - ce sentiment (envers nous-mêmes est-il possible ? Le pronom impersonnel "on" indique combien la question

condition de la liberté collective Mais si la loi m'interdit de nuire à autrui (et limite ainsi ma liberté), elle interdit aussi à autrui de me nuire. Ce que je perds en liberté, je le gagne donc en sécurité. La liberté de chacun s'arrête là où commence celle d'autrui, et pas avant, comme l'affirme la Déclaration des droits de l'homme de 1789 : Art. 4 : La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de borne que celles

sujet et objet. BERKELEY (philosophe anglais de la fin du 17eme siecle , immatérialiste) disait : «  être c'est être percu ou percevoir ». Etre percu : c'est être objet et percevoir : c'est le propre du sujet. Une chose percu résiste à cette analyse. Autrui est à la fois sujet et objet CAD il est un objet que je ne peux pas reduire à son statut d'objet. Il est à la fois un alter ego ( un autre moi) et en meme temps un ego alter ( un moi autre que moi). D'où l'ambyvalence des relations humaines. D'un

de la Métaphysique des Mœurs. 3. Le bonheur dans l’oubli et le divertissement. A. Est-ce l’heure de s’enivrer ? · Texte 4 : Nietzsche Considérations inactuelles, II (1874), § 1 B. Le devoir s’oppose au désir du bonheur, le désir du bonheur s’oppose au devoir… Si on veut donner une définition formelle du bonheur on dira d'abord que c'est une satisfaction, car on conçoit difficilement que le bonheur n’en soit pas une. Mais on distinguera aussi le bonheur de

Le cours sur la liberté concluait qu'il existe deux types de libertés : une liberté "sauvage", celle qui consiste à "faire ce que l'on veut" et une liberté "civile", celle qui consiste à "faire tout ce qui ne nuit pas à autrui" - cette limite trouvant son expression dans une loi qui protège chaque citoyen autant qu'elle le menace. Aussi la question de la liberté semble-t-elle se dissoudre dans la question du droit ; mais ce terme ambigu requiert d'emblée des distinctions conceptuelles. (Ci-contre