Géohistoire

temps fort de la géographie historique se dessine à la génération suivante, avec Fernand Braudel, en publiant sa thèse sur La méditerranée et le monde méditerranéen au temps de Philippe II en 1949. FB ne parle pas de géographie historique mais de « géohistoire ». Sa démarche consiste « à lire l'histoire des sociétés à travers leurs espaces ». Elle articule d'un côté le temps long, temps des permanences appelés temps géographique et le temps événementiel, temps court des vicissitudes historiques. L'originalité

Compte-rendu de lecture d’un article scientifique : Géohistoire de la Nouvelle-Zélande : unité territoriale et intégration à l’espace-monde  http://mappemonde.mgm.fr/num33/articles/art12102.html François Cognard nous apporte dans cet article son éclairage sur un cas relativement peu connu, notamment par la géographie française : la Nouvelle-Zelande, colonie britannique annexée en 1840 par la couronne. A travers le prisme de la géohistoire, une branche de la géographie qui s’intéresse tout

GEOHISTOIRE D’UN NOUVEAU MONDE Pb : Euro découvrent au début du XVIe siècle l’existence d’un continent où des civilisations originales se st dév. Une poignée de conquérants suffisent pr prendre en possession et le dominer. Il existe un contraste important entre P des uns et faiblesse des autres => 1e ? que pose l’histoire des Amériques. Au contact du nv monde, les Européens vt dév des soc, cultures et org pol originales, différentes de ces qui prévalaient en Europe. Cf Tocqueville au début

d’Indépendance. L a ruralisation des sociétés andines dans la première moitié du XIXème siècle. Essai de géohistoire. Classe de: seconde Chapitres: LE CHOC DE LA CONQUÊTE. UN CAS DE DÉMOCRATIE DIRECTE DANS L’”AYLLU”. DYNAMIQUES URBAINES ET ENVIRONNEMENT URBAIN. Notions: Colonisation espagnole. Urbanisation. Crise de l’Indépendance. Ruralisation. Républiques andines XIXème siècle.. Géohistoire. Problématique: la colonisation espagnole dans les Andes s’appuya sur les villes dans le cadre de la

DE CLASSE CONCERNE : sixième, troisième, seconde, terminale THEME OU REFERENCES DE L'OUVRAGE : Christian GRATALOUP : Géohistoire de la mondialisation – le temps long du Monde, Armand Colin, 2007. CONTENU : Christian GRATALOUP, spécialiste de géohistoire à l’université Denis Diderot à Paris, a codirigé le Dictionnaire des mondialisations. Il explique dans la Géohistoire de la mondialisation, ouvrage dédié à Olivier DOLLFUS, comment s’est effectué la bifurcation de l’histoire qui a donné

et non d’histoire ou de sciences politiques. Il fallait absolument spatialiser la réflexion et les problématiques. Si l’histoire en tant que mémoire des territoires doit être abordée, il faut pratiquer une géohistoire (définie par C Grataloup, J Lévy ou en référence à F Braudel : La géohistoire est une branche de la géographie qui étudie la construction des espaces sur la longue durée. Elle pose comme hypothèse que ces événements sont à la fois la cause de la création des espaces, des territoires

histoire désormais rythmée par un temps géographique, un temps long et par définition lent. Dans le développement de sa thèse Braudel va jusqu'à nommer ce temps long, il s’agit de la Géohistoire. C’est un concept totalement nouveau et qu’il n’introduit pourtant que vaguement dans sa préface. La Géohistoire consiste donc à prendre en compte à la fois l’espace et le temps. Il ne s’agit plus désormais que de borner temporellement l’histoire, il s’agit également de lui fixer des limites géographiques

Que l’on se situe à l’échelle du monde ou à l’échelle régionale, on peut affirmer que la troisième mondialisation n’a pas bouleversé les schèmes de pensée des fondateurs de la géopolitique : une puissance est puissance quand elle a une vision (géohistoire et représentations territoriales) une visée (une puissance est, par nature expansionniste) et un certain degré d’intégration au système-monde, par le biais de sa croissance économique ou de sa légitimité politique. Ce qui veut dire qu’une puissance

soit fin et efficace. Si la définition que propose Jacques Lévy de la ville donne un point de référence (largement repris depuis lors), la ville, l'espace urbain n'est pas pour autant un objet géographique figé. La ville est le fruit d'une géohistoire que l'auteur dessine avant de regarder les évolutions actuelles de la ville qui par ailleurs font largement débat. La ville selon J. Levy n'est pas un produit de la campagne, elle « est à peu près contemporaine et surtout intrinsèquement liée

sait que toute action s’insère dans le temps, qu’il faut avoir du temps, « étoffe des grandes entreprises », pour réaliser une œuvre qui marque l’alliance du temps 32 Il sait aussi qu’elle . s’insère dans l’espace et c’est tout l’intérêt de la géohistoire et de la géopolitique parfaitement maîtrisées par de Gaulle. La continuité par la conservation du passé dans le présent est un thème familier aux maîtres de De Gaulle : Bergson, Barrès, Péguy ; l’Histoire se renouvelle et se reproduit ; le passé