Habitude

Le corps a toujours été un moyen d'expression sociale Michel Serres => Il y a 3ème siècle : habitude de voir des corps morts, voire mutilés, alors qu'au 21ème siècle, il est désormais inhabituel, et même interdit, de mettre des corps en exposition au grand public. Sorte de « censure » ou d'habitude sociale empêchant ce genre d’événement. => Progrès de la médecine on permit à la population d'augmenter leur espérance de vie ainsi que leur confort quotidien, comme le dit Michel Serres

Je ne peux pas m´endormir. Finalement, après ce long et épuisant voyage je me suis endormi. Le lendemain matin toujours aucun signe de David, j’ai donc pris l’initiative d’aller signaler sa disparition à la police car ce n’est pas dans son habitude de partir comme ça du jour au lendemain. Les jours ce succédèrent toujours rien mais au bout du 4 éme jour suivant sa disparition, en lisant le journal, j’ai vu q’un homme ressemblant beaucoup à David avait été tué. Immédiatement, je suis allé voir

possible de parvenir à une véritable égalité du statut homme femme dans une société démocratique ? En théorie, une démocratie se doit d’avoir une égalité entre homme et femme. Mais dans la vie réelle, cela est presque impossible car la femme a pour habitude, c'est-à-dire, a été éduqué pour ne pas s’imposer devant un homme. Dans une démocratie, chaque personne possède les même droits et devoirs. Il ne doit pas y avoir de différence entre ethnie mais aussi, surtout entre homme et femme. Une

pour une raison !! » Le petit, pris de panique, écarquilla ses yeux, il la regardait, la scrutait sous les moindres recoins !! Et il se demanda « Qu’est-ce qui aurait bien pu arriver pour que son grand-père réagisse comme ça. Ce n’était pas à son habitude d’être aussi bref, mais on aurait dit qu’il était comme contrarié !! » Généralement il était plutôt du genre calme, posé !! Soudain après mures réflexions, pris d’un frisson qui lui traversa tous les membres, il jeta l’objet à la figure de son grand-père

répondu. Mais quelques instants plus tard, Jo me demanda: -Tu l'avais déjà vu Emily dans le collège? «Non»lui répondis-je. Chapitre 2:La fissure. Jours après jours, dès qu'elle en avait l'occasion, elle venait me faire la bise. Mais cette habitude à était perdu au bout de quelques jours: Stéphanie et Jo étais passé à la maison, pour rigoler bétement je demanda à Stéphanie: «Pourquoi Emily à une tête d'homme préhistorique un peu?» Elle rigola et me répondit qu'elle ne savais pas. Emily

sonnerie annonçant le début des cours retentit. Ben Ross se dirige alors vers sa salle de classe située au deuxième étage. Les trois quarts des élèves sont déjà présents, et chahutent dans le couloir. Le quart restant sera en retard, comme à son habitude. A son arrivée, la hâte d’assister à un nouveau cours se lit sur le visage des élèves. Le professeur est si charismatique et dynamique que sa manière d’expliquer les choses est envoûtante. Après avoir obtenu le silence dans les rangs, Ben Ross

Ex : Patricia était splendide : elle portait un tailleur pantalon rose fuschia assorti à ses chaussures. Ses cheveux, tirés en arrière brillaient. 5 - Pour exprimer une habitude, des faits passés qui se répètaient Ex : Quand j'étais à l'école maternelle, la maîtresse nous racontait chaque jour une histoire. J'avais pour habitude, à cette époque, de m'endormir avant la fin du conte. 6 - Pour exprimer un fait passé simultané par rapport à un autre Ex : Lorsque mes enfants étaient en voyage, je sortais tous

attendant  le  début  de  la  pièce.  Du  haut  de  son  mètre  cinquante,  elle paraissait toute  petite à côté de ses amies. Ses cheveux blonds et courts faisaient  ressortir ses yeux bleus. D’un geste léger, elle remonta ses lunettes comme à son habitude.  Sylvie  adorait  aller  au  théâtre  mais elle aimait par dessus  tout jouer de  la musique. Elle faisait du  piano au moins  trois heures par jour.      STAN    Stan déambulait dans le couloir  du supermarché. Comme tous les jeudis matins depuis qu’il était 

pouvais avoir encore beaucoup de jours ensoleillés dans ma vie. Je me retournai et regardai tous ces gens à leur table. Ils étaient autres dans une autre lumière. Je remis le nez dans mon assiette. J'étais venu pour déjeuner comme d'habitude, par habitude, sans appétit. Et maintenant j'avais faim, tout d'un coup, à cause du soleil. Je mangeai avec appétit le bœuf bourguignon, le fromage, je bus tout le vin de la bouteille, je pris un café inutile car je n'aime pas le café. C'est pour cette raison

mouvement. Un tel enchainement d’apprentissage se fait ressentir dans le sport, la musique ,... Mais dans ce cas on parle d’un entrainement : il s’agit en effet de procurer un automatisme (l.4), donc chaque mouvement deviendrai une habitude. Plus une action devient une habitude moins nous y pensons. C’est ce que Bergson appelle conscience. La conscience devient de plus en plus faible, au fur et à mesure que l’automatisme se développe, la conscience s’endort (l.2). La conscience est à son maximum quand