Isidore de Séville

résolution de ses enjeux à travers son Décret, œuvre révolutionnaire dans sa conception. Ce texte est un extrait normatif du Décret de Gratien (Decretum Gratiani), plus précisément les trois premiers chapitres de la distinction 3 sous le titre « Isidore de Séville, au 6e livre de ses Étymologies, explique ce qu’est un canon de la manière suivante ». C’est une œuvre du XIIeme siècle (entre 1130 et 1140) regroupant les différentes sources du droit canonique que sont entre autres les décrétales, les bulles

de trois mille huit cent textes rassemblant l’ensemble du droit ancien. Gratien s’inspire de nombreuses collections antérieures ; le Décret et la Tripartita d’Yves de Chartres, la Collectio canonum d’Anselme de Lucques et Etymologies d’Isidore de Séville. L’œuvre se compose de trois parties. La première intitulée les Disctinctiones se distingue elle même en cent une distinctions, elle contient des définitions, un exposé sur les diverses sources du droit canonique, un exposé sur les clercs et un

été établi. L’expositio mappe mundi est un petit texte qui décrit une carte semblable à celle d’Hereford. EMM : provient d’un ensemble dirigé vers la pratique nautique (EMM, liber nautarum (forme de navires, conditions météorologiques d’après isidore de seville notamment), de viis maris (cours d’eau les côtes). L’EMM decrit l’espace du monde. La structure et le contenu sont quasiment les mêmes. On se demande même si une carte identique n’a pas existée vers 1100. L’expositio évoque une projection de

partager les idées, sensations, manières de vivre. Amitié : les chrétiens y substituent l'amour charité. C'est une manière de se comporter vis-à-vis du prochain. Paulin de Nole illustre le glissement de l'amitié en amour charité, qu'Isidore de Séville emploi de manière interchangeable. • Société organisée verticalement (hiérarchiques) et horizontalement. Verticale : on considère les classes d'âge, exemple l'autorité du côté des aînés et soumissions des plus jeunes. Classes sociales : vieux

l’autorité suprême de Dieu. A) Saint Isidore. Evêque de Séville, il écrit un ouvrage appelé les étymologies. Il fut composé dans les années 630 de notre ère. Il comporte une partie consacrée aux lois. Ce livre peut-être considéré comme l’un des tout premiers traités de droit canonique. Il comprend des distinctions qui sont prises au droit romain ainsi qu’une doctrine du droit naturel qui inspireront par la suite tous les canonistes. Le mérite de saint Isidore est d’avoir assuré la transmission du

qui donne lieu a des multiples conséquence Problématique Comment la découverte du Nouveau monde aux XVème et XVIème siècle entraîne l’expansion de l’Europe ?Ce document est extrait de l’étymologie d’Isidore de Séville datant de 630 au moyen age écrit par Isidore de Séville un moine de Séville il rétabli la vérité en parlant de la véritable forme de la terre.

sont tous ou presque baptisés à Reims et prennent le nom de Louis version francisé du nom de Clovis inscrivant cette « légende » dans l’histoire de notre civilisation = fondateur d’une dynastie digne de prestige Les Wisigoths selon Isidore de Séville Ethnogenèse : processus de constitution d’une ethnie que cela soit naturel ou forcé Herwig Wolfram = en 1979 montre que des gens d’origines diverses ont formées les goths = les gothons = roi extrêmement puissant

pratique du théâtre semble inconnue du Haut Moyen Âge : si les œuvres dramatiques de Térence ou de Sénèque ne sont pas totalement oubliées, elles sont envisagées indépendamment de toute pratique scénique, à tel point que dans ses Étymologies, Isidore de Séville (vers 570-636) commet un contresens sur ce que devait être le théâtre antique : il pensait que le texte et le jeu étaient dissociés, qu'un récitant prenait en charge l'ensemble des répliques de la pièce tandis que d'autres intervenants se contentaient

pratique du théâtre semble inconnue du Haut Moyen Âge : si les œuvres dramatiques de Térence ou de Sénèque ne sont pas totalement oubliées, elles sont envisagées indépendamment de toute pratique scénique, à tel point que dans ses Étymologies, Isidore de Séville (vers 570-636) commet un contresens sur ce que devait être le théâtre antique : il pensait que le texte et le jeu étaient dissociés, qu'un récitant prenait en charge l'ensemble des répliques de la pièce tandis que d'autres intervenants se contentaient

Afar. Les Ifuraces habitaient l'ancienne tripolitaine et sont des Zénètes Berbères, que Corripus a désigné dans son livre par Ifuraces[16]. Les étymologies antérieures au xxe siècle ne sont plus aujourd'hui que des curiosités historiques : Isidore de Séville tirait ce nom du latin aprica (« ensoleillée »), Léon l'Africain invoquait un mot grec fictif a-phrike (« sans froid »). Longtemps, le terme Afrique n'a servi qu'à désigner l'Afrique du Nord à dominante arabo-berbère, le sud à majorité noire