Lapsus

Sa tante lui explique que le m a un jambage de plus. Signification : il a voulu que sa tante lui explique la différence entre fille et garçon., leur jour où il a acquis cette connaissances, il s'est souvenu de l'histoire du m et du n. 5 Les lapsus Permet à un mot qu'on n'avait pas l'intention de prononcer, de s'imposer à la conscience par une déformation, une formation mixte, une formation de compromis grâce à sa ressemblance avec un mot de la phrase. Un mot est souvent aussi remplacé par

désirs et pulsions refoulées. Le lapsus, les actes manqués ou encore les rêves font partie de ces formes substitutives. Les lapsus qui sont des « erreurs de langage » sont signifiants de contenus inconscients. Il existe deux types de lapsus, le lapsus lingue (lorsque l’on dit un mot à la place d’un autre) et le lapsus calami (écrire un mot à la place d’un autre). En effet, il nous est arrivé à tous par moment de dire un mot à la place d’un autre. D’où l’expression lapsus révélateur. Révélateur de quoi 

LIBERTE => obéir à ses pulsion, céder à la pression sociale. SI je suis libre alors je suis responsable. Anima > immanence Homme > transcendance > conscience > choix = liberté > responsabilité. Lapsus : lorsqu’on utilise un mot à la place d’un autre. Lapsus linguae > à l’oral Lapsus Calami > à l’écrit Acte manqué : a une signification et une fonction qui nous echappe Jung « interpretation des rêves » Discours incessant dans notre tête, pas de contrôle, impression d’être

inconscience qui lui dit, lui ordonne de se méfier et donc d’avoir peur. La personne ne contrôle pas alors cette partie d’elle-même, elle est alors soumise à son inconscient et a peur des chiens. Notre inconscient s’exprime également à travers les lapsus que nous faisons tous les jours, quelques qu’ils soient, de langage, d’écoute, … mais également à travers nos actes manqués. En effet, tout cela est notre inconscient qui cherche à s’exprimer sans notre accord. Nous ne maitrisons donc pas toujours

Sigmund Freud met en lumière les différentes formes d'actes manqués et accompagne ses découvertes de nombreux exemples. Le livre compte plus de 300 exemples d'actes manqués de la vie quotidienne. Les principales formes d'actes manqués : Le lapsus, phénomène bien connu dans lequel un mot est utilisé à la place d'un autre en parlant. Les gestes malencontreux, les méprises et maladresses. Les oublis Oublier le nom d'une personne. Oublier un souvenir d'enfance marquant

intentionnels, mais parfaitement motivé par des raisons qui échappent à la conscience Distinguer 3 registres dans lesquels les actes peuvent se réaliser : Dans la parole : * les oublis * les erreurs de lecture * le lapsus (lingue : dans la parole orale, calami : lapsus de plume) Dans d’autres fonctions motrices : * les méprises * les actes symptomatiques et accidentels Dans la pensée : * souvenirs * superstitions Trois axes : mécanismes qui participent à la production

des désirs qui bousculent et négligent ces règles. Ce second groupe de désirs, le sujet les trouverait, s'il en avait conscience, tellement monstrueux, qu'ils ne peuvent parvenir à la conscience que sous une forme voilée, déformée, indirecte : le lapsus, le rêve, ou le symptôme maladif. Le symptôme est donc un compromis entre le désir inconscient et inavouable que je subis, et les normes conscientes et morales que j'accepte. « Le moi n'est pas maître dans sa propre maison » signifie que je n'ai

refoulés , les souvenirs désagréables , ceux qu’on veut oublier , ceux qui nous dérange. Mais les forces inconscientes arrivent quand même à passer dans notre conscient, grâce à ce qu’on appel des actes manqués , comme par exemple des oublis , des lapsus , ainsi que dans les rêves ou encore à travers des troubles du comportement comme des bégaiements , des blocages , des phobies. Pour Freud , l’appareil psychique ce divise en trois parties, le « moi » qui est la conscience claire à laquelle on accède

définition, l’inconscient est ce que l’on ressent ou perçoit sans en prendre conscience, tous les contenus relatifs aux pulsions, désirs ou encore souvenirs d’enfance qui, refoulés par le sur-moi demeurent cependant actif, manifesté par les rêves, les lapsus ou encore les actes manqués. A première vue, donc, l’inconscient n’est qu’une hypothèse et il semble paradoxal de concilier une théorie invérifiée avec le savoir et la connaissance, puisque par son essence même, l’inconscient s’y oppose. On peut

idées viennent à l’esprit de la personne qui a conscience de ce qu’elle fait. Mais ce phénomène n’intervient pas que dans le rêve. Ces pensées contraires à notre morale et à notre conscience se remarquent lors des lapsus ou des trous de mémoire. Plus clairement, lorsqu’un homme commet un lapsus linguae par exemple, il dit clairement que ce n’est pas ce qu’il a voulu dire pourtant cette idée lui est venue à l’esprit. Alors pourquoi, une pensée qu’il ne voudrait pas, arrive dans son esprit ? D’où vient