Marie de Gournay

1622 - France  Marie de Gournay réclame, dans son « Égalité des hommes et des femmes », un meilleur accès à l’instruction pour toutes les femmes. Elle prend position dans le débat naissant sur la place de la femme, soutenant que celle-ci n’est pas inférieure à l'homme par nature mais du fait de son éducation. 1679 - Italie  Elena Cornaro Piscopia est la première femme à obtenir un diplôme universitaire. XVIIe siècle-XVIIIe siècle - France  Les femmes tiennent salon. Ces petits comités essentiellement

est jeté en prison par les ligueurs, durant les troubles qui suivent la journée des barricades. Il est délivré quelques heures plus tard grâce à l'intervention de la reine mère, Catherine de Médicis. A Paris, Montaigne fait la connaissance de Marie de Gournay, c'est après La Boétie, la seconde grande rencontre de sa vie. Il l'appellera " sa fille d'alliance". La jeune fille lui vouera une admiration fervente et fidèle. Montaigne passe les dernières années de sa vie à annoter et à enrichir les Essais

trois frères : Thomas, seigneur de Beauregart et d’Arsac, Pierre, seigneur de la Brousse et Bertrand de Montaigne. Il eut trois sœurs : Jane, épouse du seigneur de Lestona, Léonor de Montaigne dont il fut le parrain, ayant lui-même alors 19 ans, et Marie de Montaigne. Alors que Pierre Eyquem, est nommé maire de Bordeaux en 1544, il donne à son fils aîné, Michel, une éducation dans les principes humanistes. Il est envoyé en nourrice « à un pauvre village des siens » pour s'y accoutumer « à la plus

Montaigne né en 1533 en Dordogne et meurt en 1592 à l’âge de 59 ans. Sa vie : il est issu d’une famille de riches négociants d’origine Portugaise récemment anoblis. Montaigne vénère son père Pierre Eyquem de Montaigne lui-même humaniste. Il se marie avec François de la Chassaigne, fille d’un parlementaire Bordelais. Il a six filles dont cinq meurent au court des premiers mois de leur existence. Ses études : Montaigne est élevé par un précepteur allemand qui ne lui parle qu’en latin. Il est

des choses, celles qui ont osé parler d’elles et celles qui se sont rebellées contre une femme soumise et sans ressources. Avant de vous parler de ces femmes, je ne peux parler des femmes qui ont écrit l’histoire tel que Aliénor d’Aquitaine, Marie de Gournay ou biensur Jeanne d’Arc. Qui s’est battue dans le cadre de la guerre des cent ans, guerre durant laquelle les Anglais envahissaient la France. Jeanne d’Arc étiat une roturière comme les autres qui durant son enfance, aidait aux tâches ménagères

d’après alors qu’il était en voyage, Montaigne apprend qu’il est élu maire de Bordeaux, alors le roi Henri III le força à honorer ce mandat, ce qu’il fit. Il marcha sur les pas de son père, qui fut aussi maire de Bordeaux. En 1583, son sixième enfant Marie naquit et vécut que quelques jours. Il est ensuite réélu maire en juillet 1583, son second mandat est beaucoup plus difficile, en 1585 la rage frappe Bordeaux 17 000 morts. Montaigne fuit son château abandonne sa charge de maire et revint sur ses terre

dire à Montaigne, 9 ans après la mort de "ce sien cher frère" : "Nous étions à moitié de tout, il me semble que je lui dérobe sa part". Quoique notre philosophe ne crût pas les femmes aussi propres à l'amitié, il eut un grand attachement pour Marie de Gournay, sa "fille d'alliance" ou d'adoption, aimée de lui "plus que paternellement". Il eut aussi beaucoup d'affection pour sa femme, quoiqu'il donne à entendre qu'en formant un engagement, il ait cédé plutôt à la convenance et à l'usage qu'à son inclination

connaissance d’une jeune fille originaire de Picardie, Marie Le Jars de Gournay, avec qui il se lie d’amitié ; une amitié faite de tendresse et d’admiration qui vient éclairer ses dernières années. En effet, très affaibli par sa gravelle, il reste le plus souvent en sa librairie où il prépare une quatrième édition des Essais qui ne verra le jour qu’après sa mort, en 1595, grâce au travail de celle qu’il appelait sa "fille d’alliance", Marie de Gournay, qui en assura ainsi la postérité. Les deux dernières

Saint-Barthélemy, et les publies par livres au fur et à mesure de leur rédaction (à partir de 1580). Le voyage qui le mène d'Allemagne en Italie est interrompu par son élection à la charge de marie de Bordeaux (1582). En 1588, de retour dans son château du Périgord, il se lie d'amitié avec Mademoiselle de Gournay ; elle publiera, avec Pierre de Brach, l'édition posthume des Essais (1595). Taxé de vaniteux par Pascal et d'hypocrite par Rousseau, il est censé par Voltaire ou Diderot qui louent sa lucidité

frères Thomas, seigneur de Beauregart et d'Arsac, Pierre, seigneur de la Brousse et Bertrand de Montaigne. Il eut également trois soeurs, Jade, épouse du seigneur de Lestona, Léonor de Montaigne dont il fut le parrain alors qu'il avait 19 ans, et Marie de Montaigne. Il reçoit une éducation très riche, qui illustre l'idéal nouveau de la renaissance et a un précepteur allemand qui lui a toujours parlé en latin. Ce précepteur lui ayant appris le latin dès le plus jeune âge, cette langue s'impose comme