Medina Azahara

Tunis : le centre culturel américain, la Grande synagogue et des magasins de l’avenue de Londres sont pillés et incendiés. _Le 26 janvier 1978 intervient ce qu’on appellera le « Jeudi noir » (des centaines de manifestants tués par l’armée dans la médina de Tunis), suivi par 3 mois de couvre feu. _Au congrès du PSD tenu en avril 1981, on assiste à une proclamation historique de Bourguiba en faveur du pluralisme politique. 4.Jugements sur le personnage : Habib Bourguiba a conduit son pays à l’indépendance

varangue, deux espaces de transition entre l’intérieur et l’extérieur de l’habitat maghrébin et créole. Bibliographie Le Patio. - Jellal Abdelkafi, La médina de Tunis. Espace historique, éd. CNRS, Paris, 1989. - Bruno Fourure, La médina de Tunis. Une promenade dans la ville arabe, éd. Alif, Tunis, 1989. - Slimane Mostafa Zbiss, La médina de Tunis, éd. Ministère des Affaires culturelles, Tunis, 1981. - Gilles Faltrept architecte DPLG, Le contrôle climatique dans l'architecture traditionnelle

Fernando González, Jo-Wilfried Tsonga, Paul-Henri Mathieu, Marat Safin, Philipp Kohlschreiber, Juan Mónaco, Fernando Verdasco, Gilles Simon, Robin Söderling, ... Femmes : Caroline Wozniacki, Anna Chakvetadze, Ana Ivanović, Maria Kirilenko, Anabel Medina Garrigues, Dinara Safina, Patty Schnyder, ... Dirigeants [modifier] ▪ Adolf Dassler (1948-1987) ▪ Bernard Tapie (1990-1993) ▪ Robert Louis-Dreyfus (1993-2007) ▪ Herbert Hainer (PDG du Groupe Adidas AG regroupant Adidas performance/heritage/style

Lorsqu'une poignée de jeunes sportifs eurent le mérite de créer en 1946 , à Tizi-Ouzou , la Jeunesse Sportive de Kabylie, ils ne se doutaient certainement pas que le club phare du Djurdjura allait dominer un jour le football algérien voir même africain. En effet, que de chemin parcouru depuis 1946 où, durant l'époque coloniale, la JSK dût végéter, tout comme les clubs musulmans d'alors, dans les divisions inférieures d'autant plus que dans les années 50, l'Olympic de Tizi-Ouzou (OTO), un club colonial

cités et des ensembles palatiaux tels que Cordoue, Grenade ou encore Séville. Royaumes chrétiens face à la conquête almohade en 1210 Première partie : Les grands palais du temps d’Al-Andaluz Cordoue La Madinat al-Zahra ou médina Azahara (Arabe: مدينة الزهراء) était une cité califale située à Cordoue construite à partir de 936 par les Omeyyades d'Espagne sous le règne de Abd Al-Rahman III en honneur à sa favorite prénommée Zahra (fleur). Des trois terrasses s’étendant au pied

fraîcheur de l’un de ses parcs. Cordoue, qui autrefois était l’un des plus puissants califats du Moyen Age. Cette ville tranquille vous charmera par les ruelles piétonnes. A une dizaine de kilomètres de la ville, le site archéologique de la Medina Azahara vaut aussi le détour. Grenade, le 3ème fleuron du « triangle andalou ». L’Alhambra de Grenade est un ensemble fortifié de bâtiments situés sur la colline de la Sabika, qui domine la plaine et la ville de Grenade, et qui fait face au quartier populaire

Rois Catholiques. Cette forteresse dispose de paisibles jardins avec de petites fontaines et canalisations d’eau près du fleuve Guadalquivir. On y aperçoit une grande noria, l’Albolafia, qui puise l’eau du fleuve pour irriguer les jardins.  La Médina Azahara est la résidence palatine qui fut construite sous les ordres du calife Omeyyade Abd-al-Rahman III avec des éléments précieux comme l’ivoire, l’ébène ou le marbre. Les ruines (colonnes, chapiteaux, socles et plâtreries) permettent d’insinuer la