Rousseau Vs Descartes

naissance d'une remise en question inouïe des autorités religieuses. Une révolution sans précédent dans l’histoire de l'humanité va s’accomplir en Europe : Copernic, Les révolutions des orbites célestes (1543), Newton Principia mathématica (1687) Descartes Principes de philosophie (1644) Galilée Rapports de La Terre et du soleil. Le monde lui-même, ce cosmos qui formait un cadre clos et harmonieux de l’espèce humaine depuis l'Antiquité, s’est purement et simplement volatilisé, laissant les esprits

a plus aujourd'hui de Français, d'Allemands, d'Espagnols, d'Anglais même, quoi qu'on en dise ; il n'y a que des Européens." Jean-Jacques Rousseau, 1771. [à continuer]Le XVIIIe siècle : le siècle des Lumières La liberté par les lois, c'est d'un bout du 18e siècle à l'autre ce que soutiennent ces deux pôles de la pensée du politique, Montesquieu et Rousseau, pendant que Hume en Angleterre et Condillac en France renouvellent les modèles de la connaissance et que Voltaire combat le trône et l'autel

eux qui rendent la vie digne d'être vécue. 8 On dit souvent qu'il s'agit d'un moment de grâce, fugitif et miraculeux. La fluidité qui ne relève pas du vocabulaire religieux est peut-être préférable. C'est d'ailleurs cette facilité d'action que Descartes assimile à la liberté. 9 La poésie se sert du mot pour désigner l'oubli. Par exemple, dans le Spleen (77) des Fleurs du Mal, Baudelaire l'utilise au sujet d'un roi désabusé (une figure pascalienne du thème du "roi sans divertissement") pour décrire

une sorte de suicide lent. Ou encore le suicide amoureux ; il y a aussi la passion de la montagne, où le plus souvent, « les alpinistes sont retrouvés, écrasés dans une crevasse » (paroles du prof). Les passions s’enracinent dans le corps. 2- Descartes, « les passions de l’âme », où il dit, pour résumer sa théorie, ( 2eme reproche ) que la passion résulte de l’action du corps sur l’âme et pollue cette âme. Pour l’idéalisme, dont le premier représentant est Platon, la passion est vue comme une sorte

déterminer les 1ères (algèbre). c) Ajd : étude des relations de dépendance entre diverses grandeurs (calcul infinitésimal, combinatoire…) 2. Philosophie de la connaissance : méthode de connaissance conçue soit sur le modèle algébrique de la résolution(Descartes), soit sur le modèle physique de la décomposition (l’empirisme, Hume, Condillac…) Synthèse 1. Sens ordinaire : moyen par lequel des thèses ou opinions diverses, éventuellement opposées, sont réunies ensemble et conciliées. 2. Chez Hegel : 3e moment

certitude : sur quels fondements repose-t-elle ? Qu’est-ce qui crée le rapport de certitude, ce rapport au vrai ? Comment apparait-elle dans le psychisme humain ? (S’intéresser à la certitude est une question traditionnelle de la philosophie cf Descartes Règles pour la direction de l’esprit en 1629 puis le DM en 1637, c’est la question que se posaient tous les philosophes chrétiens tels que St Augustin ou St Thomas) Ce texte s’inscrit dans une grande tradition philosophique : le rapport au vrai

relève de l'expression du générique et du toujours vrai ; mais il y rattache les emplois de temps et surtout de personne en énallage (un JE ou un TU indéfini, équivalent d'un ON, type " je pense donc je suis " (G. Philippe n'utilise pas l'exemple de Descartes, mais un extrait de Merleau-Ponty) ou intervenant dans une anecdote susceptible d'arriver à tout un chacun, et servant d'exemple : " ces textes n'ont de pleine pertinence philosophique que parce que la référence de leurs embrayeurs reste purement

discussions : l’art comme miroir de la réalité. ZOLA : «  le roman est un miroir que l’on promène le long d’un chemin. » II/ Le goût dans l’esthétique A/Le concept de goût. Apparait au 17ème siècle en Europe, avec la notion de subjectivité (DESCARTES donne une analyse philosophique de la subjectivité qui met au premier plan la notion de sujet et d’appréciation par le sujet du monde extérieur.). Il est attrait au domaine de la sensibilité : rapport à la sensation. Sens gustatif, ou au sens affectif

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peut en dénoncer la caractère dénaturant, aliénant, corrupteur, pervers. C’est dans doute Rousseau qui a fait la critique la plus acérée dans son discours sur les sciences et les arts de l’artifice. (« nos âmes se sont corrompues à mesure que nos sciences et nos arts se sont avancées à la perfection ; on a vu la vertu s'enfuir à mesure que leur lumière s'élevait sur notre horizon ». ) La nature, selon Rousseau, c'est le bonheur, la simplicité, la puissance, la liberté, l'innocence ; l'artifice, c'est