Symptôme

  L’anorexie est un symptôme observé en médecine qui correspond à une perte répétée de l’appétit. Ce symptôme peut s’observer dans de très nombreuses maladies organiques et psychiatriques. Quelle qu’en soit la cause, il peut conduire à la malnutrition et à ses complications sur la santé de la personne. En psychiatrie, l’anorexie est un des symptômes principaux du syndrome dépressif. En moyenne, une adolescente sur cent est anorexique L'anorexie touche 2 % des femmes. Ce refus de s'alimenter traduit

l'Organisation Mondiale de la Santé a estimé que plus de 177 millions de gens étaient diabétiques. Ce chiffre pourrait atteindre 300 millions d'ici à 2025. (1) Qu’est-ce que le diabète? Quels sont les types de diabète? Quels sont les causes et les symptômes du diabète ? et comment prévenir de cette maladie? 1) Définition : Le diabète est une maladie chronique incurable causée par une carence ou un défaut d'utilisation de l'insuline entrainant un excès de sucre dans le sang. 2) les types de diabète :

Cette classification place l'autisme dans la catégorie des troubles envahissants du développement (TED). Le terme est également utilisé plus ou moins indépendamment des critères diagnostiques pour qualifier les TEDs en général ou pour identifier un symptôme ou l'attitude psychologique théorisé sur cette base dite de "retrait autistique" (par exemple dans le cas de l'hospitalisme). Il semble qu'actuellement, en l'état des recherches, on puisse relier l'autisme à un « désordre neurologique des premiers

bien être. Les compulsions peuvent se traduire par une multitude d’action physique ou mentale comme se gratter à un endroit précis pour éviter qu’une des obsessions du patient se réalise ou encore avoir des phrases ou formules conjuratoires. Les symptômes de cette maladie peuvent s’exprimer de différentes façon suivant le patient en question (se laver les mains 50 fois par jour, vérifier avant de s’endormir si le chauffage est bien éteint, la phobie des bactéries...). Il faut savoir que cette maladie

robinets d’eau, des portes, ou d’activités cognitives telles que se réciter des séries de chiffres ou des prières, ou demander à être rassuré. Les compulsions sont ritualisées, répétées, et occupent généralement plus d’une heure dans la journée. Des symptômes comme ne rien jeter, ruminer des pensées, être très lent ou obsédé par l’ordre, la symétrie, etc., caractérisent aussi parfois la maladie.   Les formes de TOC dites légères n’altèrent pas la vie sociale ni professionnelle mais provoquent une gêne

troubles sont liés à la confusion entre ces deux niveaux là La place du symptôme en thérapie familiale Intérêt du symptôme qui exprime une souffrance durable au niveau du groupe familiale On a essayer d'aider la famille à le lire dans le cadre du fonctionnement de la famille Essayer de le ré-articuler en cohérence avec ce que la famille a été dit mais de manière très décaler, en rupture : on va représenter le symptôme de façon différente qui n'est ni en contradiction ni rupture avec la famille

(1826-1893) : L’hystérisme est le symptôme qui va permettre la découverte de l’inconscient. C’est Charcot qui va isoler l’hystérie des autres maladies neurologiques et proposer la thérapie suggestive : hypnose. Il distingue quatre phases chez l’hystérique : la phase épileptoïdale, la phase théâtrale avec la contorsion du corps en arc, la phase des attitudes passionnelles avec hallucinations visuelles et la phase du délire terminal. Pour Charcot, les symptômes corporels reposent sur une origine traumatique

s’exprimer alors qu’une instance contraire (consciente) tenterait de s’y opposer par le biais de la censure. Le rêve serait le résultat de la lutte entre deux tendances : un compromis. Le rêve est la manifestation du retour du refoulé. Il est lui-même un symptôme névrotique comme nous l’avions vu dans la précédente synthèse. L’élément nouveau est que le rêve serait une « psychose inoffensive » avec une « idée délirante » de courte durée. En effet, comme dans les états psychotiques, le rêve va nous permettre

psychique du patient. Dans ce cas ils sont une source d’irritation perpétuelle pour le patient. Ou bien, ils peuvent se transformer en processus physiques anormaux, processus d’innervation ou d’inhibition (paralysie), qui ne sont pas autre chose que les symptômes physiques de la névrose : c’est pour Freud l’hystérie de conversion. Deuxième Leçon À Paris, deux autres médecins Charcot et Janet font des études sur l’hystérie. Pierre Janet pense que l’hystérie est une forme d’altération dégénérative

faible incidence de la dépression chez l’homme par rapport à celle chez la femme2. Par ailleurs, cette incidence moins élevée chez les hommes pourrait bien dériver de la tendance masculine à nier les malaises, à surveiller et traiter eux-mêmes leurs symptômes, et à éviter d’avoir recours aux services et aux professionnels de la santé comme façon de manifester et de préserver leur virilité3. Cette réalité a contribué au fait que nous connaissons mal la dépression chez l’homme, notamment les moyens de la