Chapitre 2 - Les leçons non tirées du passé : les utopies de 1848.

Les républicains sous monarchie de Juillet ont tjrs constitués une vraie force d’opposition (pas représenté à l’ass). Ils s’organisent dans des s secrètes qui prolifèrent. Ils tentent 2 coups d’Etat. Un des 2 est tenté par Louis Napoléon Bonaparte, neveu de NB. Il se dit assez proche du peuple, il a écrit une petite brochure : de l’extinction du paupérisme.

Section 1- La pression révolutionnaire.

Le 24 février 1848 se constitue un gouv provisoire issue de la révolution. Ils se disent républicains sauf si le peuple dit le contraire. Une élection de la constituante est alors faite le 24 avril 1848. L
Les membres du gouv sont hétérogènes mais il y a une unité autour des idées républicaines. Ce sont tous des républicains : À droite, les libéraux comme le poète Aragot ou Crémieux. Au milieu, Lamartine. À gauche, il y a les républicains socialistes, Louis Blanc. 
En France, le socialisme n’est pas marxiste.Ce sont les républicains socialistes véhiculent l’idée de démocratie avec le SUD.
Les républicains ne sont pas encore libéraux. L’équation libéralisme et démocratie n’est pas encore faite. La démocratie insiste plus sur l’égalité et le libéralisme prône la liberté.

Derrière cette unité de façade (romantisme pol), ce cachent des divisions profondes. Les premières lois symboliques : abolition de la peine de mort politique. Les républicains veulent rassurer le peuple qui a un souvenir sanglant de la République (la terreur). l’abolition de l’esclavage. suppression du suffrage censitaire, remplacée par le suffrage universelle. liberté de la presse.

L’ambiance est mauvaise. Même avant que la consti soit rédigée, le divorce prend corps entre le classes populaires et le nouveau régime. Les ouvriers veulent des réformes sociales. Mais la rue estime que le gouv ne va pas assez loin. Ils veulent un droit au travail. Louis Blanc, ministre, met en place le système des ateliers