(Sujet amené) Au cours du dix-neuvième siècle, la France est marquée par un déséquilibre politique, entre deux systèmes : celui du monarchisme et du républicain. Suite à la mort de Louis XVI, le 21 janvier 1793, Napoléon Bonaparte (1769-1821) fait son apparition émergée dans la sphère politique. Profitant de cette instabilité, il prit la tête de la France et fut élu empereur. Pendant 10 ans, il multiplia les conquêtes afin de soutenir la Révolution, et ce, tout en instaurant un pouvoir impérial autoritaire. (Sujet posé) Auteur romanesque, Honoré de Balzac (1799-1850), né à cette époque, est influencé par les troubles de la France. Ayant vécu la Restauration (1814-1848), ce romancier en voit l’impact sur Paris. Cette ville devient, selon Balzac, selon lui, une bête affreuse voire même un monstre. L’idée de comparaison entre l’humain et l’animal lui vient de la comédie humaine, c’est-à-dire que l’auteur utilise les mœurs et les philosophies de son entourage afin de critiquer le monde dans lequel il vit. (Sujet divisé) De ce fait, l’hypothèse veut que, Honoré de Balzac, à travers « Ferragus, chef des dévorants », critique la ville de Paris en l’associant à un monstre, ce qui, suite à la Restauration, lui permet d’exprimer son opinion sur les divers aspects de la société. Ces idées sont démontrées par le monde secret de Ferragus, la place de la jeunesse dans la ville ainsi que la critique de la fausseté des bourgeois. (Conclusion) Bref, l’auteur est à illustrer la monstruosité de Paris suite aux différents événements du premier tiers du dix-neuvième siècle.

(Idée principale) Les dévorants, étant la principale intrigue de l’histoire, sont des membres d’une société secrète. Ayant pour but de recommencer la Société de Jésus à la version du diable, celle-ci contient treize membres (le chiffre démoniaque). Elle est dirigée par Gratien, Henri, Victor, Jean-Joseph Bourignard ancien entrepreneur de bâtiment, élu chef des dévorants suite à son séjour en prison. De ce fait,