Cannibalisme et prison
Le Début du texte est une affirmation, « Nous devons nous persuader que certains usages…nous semble étrangère à la notion de civilisation ». Dans ces lignes l’auteur expose la notion de subjectivité et plus implicitement, la notion de l’ethnocentrisme qui est la tendance à privilégier les normes sociales de son pays par rapport à celles des autres. On remarque aussi l’utilisation du nom civilisation dans cet extrait, or c’est un terme très vague car chaque peuple a sa propre définition du mot civilisation. Une civilisation étant un état qui s’oppose à la barbarie comme un progrès dans les mœurs et les connaissances. De plus lorsque l’on observe, c’est-à-dire que l’on est un observateur, comme écrit dans le texte, nous émettons un jugement sur quelqu’un ou quelque chose, ici, sur un usage. Or un jugement ne peut être objectif car l’individu qui observe est forcément soumis à l’influence qu’a sur lui sa propre culture, et ce même en faisant preuve d’impartialité.
Ensuite « Je pense à nos coutumes judiciaires…et même de les mettre à profit ». Ici, le philosophe oppose deux types de sociétés, sachant qu’une est société est un état des êtres vivants qui vivent dans des groupes organisés, cela revient à opposer deux groupes organisés de diverses façons. L’un de ces groupes pratique l’anthropophagie, c’est-à-dire qu’il mange de la chair humaine. Le cannibale voit dans cette culture le moyen de résoudre des problèmes sociaux, comme dans ce cas, en éradiquant l’ennemi dont-ils craignent la force, en