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Devoir de français

513 mots 3 pages
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Registre tragique , lyrisme….
Expressions de phèdre , (cris ) , bcp de tristesse , termes utilisé qui relève du tragique
Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours défendues et maudites et pour finir de la mort. D’ailleurs Phèdre sait que l’univers qui l’entoure est habité de forces agissant pour son propre malheur
Ce feu qui brûle son corps, Phèdre l’appellera "Vénus toute entiere à sa proie attachée", car la déesse de l’amour poursuit Phèdre de sa haine et œuvre incessamment à la perte de sa famille.

exemple vers 1-2, déclaré qu'elle est amoureuse de son beau-fils est absurde (Plutôt qu' "absurde", j'emploierai plutôt "inconcevable" par exemple). Elle déclare à Oenone que son amour est funeste vers.21 " tu va ouïr le comble des horreus [...] à ce nom fatal" (Ces premiers exemples sont pas mal, mais je les placerai dans un autre ordre: le fait qu'elle aime son beau-fils devrait arriver en dernier, comme une sorte de conclusion de paragraphe (cf. ci-dessous)) . Elle accuse Vénus (déesse de l'amour) de son malheur "du sang qu'elle poursuit, tourments inévitable" vers.38. (Les références à l'origine divine de cet amour impossible est également intéressant, et à développer si possible)

* II) Les émotions et les souffrances de Phèdre.
Racine multiplie les mots ou expressions grammaticaux pour faire ressentir au lecteur ce que Phèdre ressent ce qui la déchire. A travers les paroles de Phèdre, on ressent que cette dernière accèlere son rythme ( = stress, passion, crainte; le coeur bas plus vite). Vers22 " à ce nom fatal, je tremble, je frissone", '"je sentis tout mon corps et transir et brûler" vers.36. La ponctutation exemple point d'eclamtion nous permettent eux aussi dans cette lecture de discerner le ton de Phèdre. Elle change son rythme, son ton mais aussi l'expression de son visage, vers.33 " je le vis,

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    Phèdre très anxieuse se tient prête à rentrer dans l'espace réservé à l'accusé. Lever de rideau 1 Scène 1: ouverture du procès Juge (Mathilde): Bonjour Mesdames et Messieurs, veuillez vous assoir. Nous sommes ici présent pour le procès de Phèdre. Je déclare donc le procès ouvert.….

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  • Devoir de français
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    DREUX Morganne Devoir de Français 1°ES |Note : |Observations : | Caractériser les personnages et le héros réalistes Exercice 9 |Registre de l’imaginaire merveilleux |Registre réaliste | |L3 : ‘’ hideux à démesure ’’ |L2 : ‘’ vilain ‘’ | |L 4-5 : ‘’ il avait plus grosse tête que roncin ou autre bête ’’ |L3 : ’’ laid ’’ | |L 6-7 : ‘’ de plus de deux empans de large ‘’ |L 5-6 : ‘’ cheveux mêlés en broussailles ‘’’ | |L 8 : ‘’ vêtu de très étrange façon ‘’ |L 6 : ‘’ Front pelé ‘’ | |L 10 : ‘’ nouvellement écorchés ‘’ |L 7-8 : ‘’ appuyé sur sa massue ‘’ | |L 17-18 : ‘’ ne disant mot pas plus que ne ferait une bête ‘’ |L 8-11 : ‘’ Ce n’était vêtement de toile ni de laine mais de deux | |L 19 : ‘’ il ne savait parler ou il n’avait point de raison ‘’ |cuirs, cuir de taureaux ou de bœufs ‘’ | |L 21 : ‘’ bonne créature ‘’ |L 14-15 : ‘’ il demeurait tout coi et sans bouger ‘’ | | |L 24 : ‘’ Je suis un homme ‘’ | Exercice 10 1) Les deux personnages sont des employés, ils font partie de la petite bourgeoisie. 2) |Nom |L 14 : ‘’ Bouvard ‘’ |L 16 : ‘’Pécuchet’’ | |Physique |L 3 : ‘’ grand ‘’….

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    Phèdre, une héroïne déchirée 1. La tension de Phèdre face à Hippolyte -rythme ternaire qui provoque une accélération « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue » -champ lexical de la souffrance physique « blessure » « saigné » « victimes » -sensations de Phèdre « sentis » « transir » « brûler » -des sens atrophiés « ne voyaient plus » « ne pouvait parler » -phrases exclamatives « Vaines précautions !….

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    - État initial Depuis la jetée, le narrateur décrit la ville du Havre, où il se trouve. - Les péripéties L'élément perturbateur : Axelsen, ami du narrateur, fait son apparition, et raconte une histoire à ce dernier. Il tombe sous le charme d'une jeune demoiselle à qui il offre une aquarelle lors de sa fête. L'aquarelle, faite avec de l'eau de mer, est sujette à l'influence de la Lune et aux marées. Par une nuit de tempête, le tableau déborde et noie la jeune femme.….

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    Pour répondre à cette ordre Phèdre emploi des phrases interrogatives qui appuie sa peur de parler ainsi que de dire ce qu’elle cache depuis longtemps car elle a honte d’avouer. Dans les répliques suivantes de Phèdre l’héroïne tragique accuse la déesse Venus responsable de la malédiction qui s’est abattue sur sa famille maudite. Phèdre est amoureuse d’Hyppolyte malgré que sa soie un amour interdit par ce que c’est un amour qui releve de l’inceste et de l’adulaire: C’est une femme marrie et Hyppolite est en même temps le fils de son marie. Dans le même ordre d’idée, pour avouer son amour a quelqu’un qu’on ne peut ni nommer ni aimer elle emploi une typographie c.-à-d. les 3 pts de suspensions qui suivent le verbe j’aime répéter à 2 reprises dans la réplique.….

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    » Le feu qui brûle son corps et son âme n’est donc pas seulement le fruit d’une simple passion, mais bien le travail de Vénus qui œuvre à sa perte, persécutant sa proie, Phèdre, en la faisant tomber amoureuse de son beau-fils, Hippolyte. De plus, Vénus manipule la moindre émotion de la reine. Elle semble s’amuser avec elle en lui faisant changer, extrêmement rapidement, de registre passionnel. D’éperdument amoureuse (acte 1, scène 3) à repentante (acte V, scène 7), en passant par désemparée (acte II, scène 5) et jalouse (acte IV, scène 5), Phèdre est tellement dévastée par ces états qu’elle perd contrôle : « Où laissé-je égarer (…)….

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  • Magellan
    1718 mots | 7 pages

    Tout d’abord, dans un flot de paroles continu, Phèdre avoue à Oenone, sa confidente, comment sa passion pour son beau-fils est apparue et est devenue un sentiment foudroyant qui l’a entièrement dépassée. A Quand elle rencontre Hippolyte la première fois, Phèdre est avant tout frappée physiquement à la vue de son beau-fils : c'est son corps qui va d’abord réagir. En effet, les sensations physiques qu'elle éprouve sont décrites en premier, et développées de manière forte par des antithèses telles que « je rougis, je pâlis » v. 7, « et transir et brûler » v. 10 qui montrent à quel point ses sens sont bouleversés puisque son corps réagit de façon contradictoire (le rouge/le blanc ; le chaud/le froid) Phèdre est tellement attirée physiquement par Hippolyte qu’elle est troublée quand elle le voit. C’est pourquoi elle utilise le lexique des sens et essentiellement celui de la vue (« vis » v. 7 ; « « mes yeux » v. 9 ; « sentis » v. 10 ; « voyant » v.20 ; « mes yeux » v. 24 ; « revu » v. 37)….

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  • Commentaire rédigé – Phèdre, aveu à Oenone
    1133 mots | 5 pages

    Pour répondre à cette question, nous expliquerons, dans un premier temps, comment les tourments de l’amour se sont manifestés chez Phèdre, puis dans un deuxième temps, nous montrerons que tous les efforts qu’elle a déployés pour échapper à cette passion fatale se sont soldés par des échecs. Phèdre manifeste des troubles physiques et moraux, qui témoignent du désordre amoureux qui naît dès le premier regard. Depuis le jour où elle a vu Hippolyte pour la première fois, elle a tout de suite éprouvé pour le jeune homme une passion démesurée, au point qu’elle l’idéalise.….

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  • Question d'analyse : les aveux de phèdre
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    Question d’analyse Le corpus présente deux textes : les deux textes en question sont extraits de Phèdre, une tragédie écrite par Jean Racine et publié en 1677. On peut tout de suite constater qu’ils portent sur le même sujet, en l’occurrence : l’amour de Phèdre pour son beau-fils, Hippolyte. C’est dans ces deux passages qu’elle avouera sa flamme, dans un premier temps à Oenone, sa confidente, et dans un second temps à Hippolyte lui-même.….

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  • Marketing
    1116 mots | 5 pages

    Elle va nommer des responsables de ce mal : « à peine au fils d’Égée […] je m’étais engagée », « Athènes me montra mon superbe ennemi » « je reconnus Vénus et ses feux redoutables », « contre moi-même enfin j’osai me révolter ». Phèdre s’avoue impuissante face à cet amour qui l’aliène : son amour est « incurable ». De plus, lorsque Phèdre vit Hippolyte pour la première fois cela déclencha chez elle un véritable dérèglement, bouleversement de symptômes physiques « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, un trouble s’éleva dans mon âme éperdue, mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps….

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  • Phèdre
    710 mots | 3 pages

    Page 106 Ligne 1291 à 1294 Phèdre est bloquée dans un état entre la mort et la vie. La première phrase que dit Phèdre est : « N’allons point plus en avant, demeurons, chère Oenone. » page 38, ligne 153. Phèdre est s’est décidée à ne plus continuer à vivre : « n’allons point plus en avant ».….

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