L’ÊTRE HUMAIN : FONCIÈREMENT BON OU MAUVAIS ?

Dissertation
Présentée à
M. xxxx

Par xxxx & zzzz

L’Être humain
340-102-MQ

Groupe 00002

Cégep de xxxxx

Réalisé le 25 septembre 2011
Remis le 3 octobre 2011

De jour en jour, les médias nous rapportent des gestes malsains et violents en tout genre commis par nos semblables ; les humains. Bien qu’ils aient toujours pris place entre les murs rigides de nos sociétés, l’accès à l’information semble amplifier la propagation de ceux-ci en mentionnant à coup de bulletin de nouvelles ou d’émissions de radio les moindres crimes ou infractions commis. C’est pourquoi les civilisations que nous connaissons semblent toujours avoir eu besoin d’instaurer des systèmes de lois afin de contrôler les actions immorales humaines. Il nous suffit de penser aux départements policiers de chaque pays du monde moderne ou dans un contexte plus historique, au Code d’Hammourabi qui fut rédigé par le sixième roi de la première dynastie de Babylone en 1730 av. J.-C. afin de faire régner l’ordre dans son royaume, en Mésopotamie. C’est à ce demander pourquoi les êtres que nous sommes ne connaissent-ils pas l’harmonie et le respect d’autrui de façon permanente, et ont toujours besoin d’aides extérieures afin de les empêcher de commettre des actes dignes de méchanceté. En poussant cette réflexion plus loin, nous sommes en droits de nous demander, qu’est-ce que l’être humain et qu’est-ce qui nous distingue des êtres non humains ? Afin d’étudier l’être humain sur tous ses aspects et de tenter une approche à cette fameuse question, une branche de la science est consacrée à ce domaine. Cette discipline, appelée anthropologie, vient de deux mots grecs, antrhôpos qui veut dire homme et logos qui signifie étude. Dans le même ordre d’idée, la philosophie anthropologique tente de dresser un portrait objectif et convenable de l’être humain afin qu’il se connaisse davantage et puisse