Nous pouvons voir aussi que dans « un journal intime planétaire » Colette Mainguy nous démontre la frénésie des blogs sur le net ou le langage utilisé sur ces sites, efface l’écrit.
Plusieurs sites ont permis et permettent de publier et de se montrer comme : facebook, Skyrock.
Elle nous dit aussi que « Facebook » est considéré comme « sixième continent » qui connecte 901 millions d’habitants : 250 millions de photos y sont mises en lignes chaque jour.
Ces sites d’applications et d’images paraissent être la nouvelle folie des internautes.
Coraline Duprat nous explique qu’elle ressent une sensibilité plus développée, son regard sur le monde change, elle à l’impression de voir se que d’autres ne peuvent pas voir et avec la possibilité de morcellements et montages, elle considère se découvrir comme photographe du détail.
Avant, on se racontait, et maintenant on se montre. On à plus vraiment de conversation « directe ».
Les journaux intimes faits d’instantanés sont les nouveaux fils d’actualités du quotidien.
Ismail Mansouri nous dit « J’instagrame tout se qui m’entoure par réflexe, comme je respire. Je tweete illico mes instantanés, tout est dit en photo et quelques lignes. J’ai l’impression de participer aux mouvements du monde. Je ne sais pas quel vide je comble ».
Pour notre génération, tout cela est devenu un style de vie, tout à l’air plus simple, on à l’impression de participer aux mouvements du monde, comme nous à dit Ismail Mansouri.
Mais nous ne sommes pas pour autant des photographes narcissiques.
Mêler l’intime et le public est devenu banal pour notre