Gymnase
Quatrième de couverture:
Ce roman reçu le prix Goncourt l’année même de son édition, en 1975. La vie devant soi raconte l’histoire d’un petit garçon arabe, nommé Momo, qui se dévoue pour entretenir une vieille femme ayant vécu les camps de concentrations nazis, Mme Rosa. Momo se bat pour la volonté de Mme Rosa et contre les autorités, même par-delà sa mort. Momo, contrairement à Mme Rosa a encore toute la vie devant soi, pour les uns c’est une bonne chose, mais Momo n’est pas du même avis.
Vie de l’auteur:
Romain Gary, de son vrai nom Romain Kacew, naquit en 1914 à Vilnius et périt en 1980 à Paris. Il fut élevé seul, par sa mère, son père ayant quitté le foyer conjugal pendant son enfance. La famille de l’auteur était pauvre, et il était issus de deux parents juifs. Il arrive en France à l’âge de 14 ans et étudie le droit à Paris.
Il fut l'époux de l'écrivaine britannique Lesley Blanch et de l'actrice américaine Jean Seberg, dont il divorça. Il eut un fils avec cette dernière. Un peu plus d'un an après le suicide de Jean Seberg, en septembre 1979, il se donne la mort en se tirant une balle dans la bouche. Après sa mort, on appris que Romain Kacew utilisa encore d’autres pseudonymes tels que: Emile Ajar, Shatan Bogat et Fosco Sinibaldi. Il a également réalisé deux films, pour lesquels il tint en même temps le rôle de réalisateur et celui de scénariste.
Présentation de l’oeuvre:
La vie devant soi décrit l’injustice subie par les prostituées et surtout par leurs enfants illégitimes. Le personnage principal est surtout Mme Rosa, mais elle est suivie de très près par Momo. Momo est le narrateur de ce roman, il raconte la vie difficile qu’à mené Mme Rosa et qu’elle mène toujours mais dans une autre mesure.
Résumé:
C’est chez Madame Rosa, au sixième étage sans ascenseur, à Belleville, un quartier populaire, habité par une population pauvre et « pluriethnique », dans les années 1960-1970 que