Les parents de Sophie sont toujours en dispute. Sophie est le sujet. Ils se demandent s’ils ont bien fait, s’ils l’ont essayé de l’écouter ou de lui parler. Elle doit rester avec son frère, car sa mère veut sortir avec son amie Soraya pour décharger son cœur. Une fête foraine s’est installée sur le terrain vague qui longe la route qui mène au centre-ville. Sophie sa donnée rendez-vous, avec Chloé, Sabrina, Majda. Elle a décidé de leur présenter Adélaïde, à qui elles n’ont jamais vraiment parlé. Sont rendus avec Victor ne lui enchante pas. Mais elle n’a visiblement pas le choix. Elle sort avec Victor par la main. Elle a presque envie de lui rappeler par télépathie, soudain, mais elle sait maintenant que c’était un élément de ma folie, de mon déni, et il ne faut plus qu’elle fasse ça. Mais elle ne peut plus.
Elle va chercher Adélaïde à sa maison. La mère d’Adélaïde apparaît dans l’embrasure. Elle avance une main vers le ventre de Sophie et hoche la tête. Victor et Sophie entrent dans la maison d’Adélaïde. Madame Genay s’assied en face de leur sur un fauteuil et les observe avec un sourire. Le mur qu’était devant Sophie est entièrement couvert de livres, elle le trouve cool puisque chez soi ne fasse pas de la lecture. Aussi elle trouver cool les photographies qu’il y a dans les étagères. Chez soie les photos sont dans les albums fermés et rangés dans un placard. Elle croit que c’est parce que sa mère est fâchée avec ses parents, et son père n’a pas exposé sa famille pour que ce soit équitable. Sophie sort son caméra de son sac. Elle filme un panorama de la pièce, après elle s’approche aux livres et aux photos. Finalement elle tourne la caméra vers Madame Genay qui lui raconte ses expériences de son travaille avec les détenus de la prison. Adélaïde est déjà prêtée, ils sortent pour aller à la fête. Dans le couloir deux femmes d’une quarantaine d’années leur regardent. Un dit très clairement à l’autre « regarde, c’est les deux filles enceintes du bâtiment. Deux