la crise des subprimes
Ces emprunteurs achètent des biens immobiliers par des agents, pour cela ils empruntent de l’argent des banques hypothécaires. Par la suite ces banques hypothécaires vendent leurs prêts hypothécaires aux autres banques investisseurs. Donc ces banques profitent des paiements hypothécaires mensuels payés par les emprunteurs. Lorsque les emprunteurs irresponsables ne payent pas leurs prêts ou ne peuvent plus rembourser leurs prêts à cause d’un taux d’intérêt variable, les banques sont obligées de récupérer la maison par les ménages. Maintenant la banque ne contient que les maisons et ne reçoit plus de l’argent des prêts.
Après cette situation, dans le marché des biens immobiliers, il y a plus d’offre que de la demande. Les prix des biens chutent. Le taux d’intérêts augmente, donc personne n’achète. Puisque les ménages qui payent bien leurs prêts doivent payer plus d’argent que la valeur de leur maison, donc ils les abandonnent aussi. Les banques investisseurs qui ont acheté les prêts hypothécaires ne reçoivent plus d’argent mais doivent payer ses dettes auprès d’autres banques et investisseurs par qui ils avaient emprunté de l’argent. Pour finir, les banques investisseuses n’ont plus de capital, les investisseurs refusent d’investir et les autres banques n’ont plus de confiance pour prêter. C’est par ici que les banques investisseurs font face à une crise de liquidité et font faillite pour ne pas pouvoir faire face à leurs engagements.
C’est à cause de la pénurie de crédit que la crise américaine a affecté les banques européennes. La profitabilité de certaines banques peut être influencée négativement par la crise. En effet, une large part de leurs revenus provient d'activités de marché. « Le niveau élevé de leurs fonds propres et de leur rentabilité générale devrait leur permettre d'absorber ces