Le berger et son troupeau
Une mise en scène amusée d'une anecdote rurale.
Pour bien faire comprendre le message qu'il cherche à transmettre, le fabuliste écrit un texte enfantin, non complexe, destiné à toute sortes de lecteurs. Une histoire banale d'un berger et de moutons ayant des similitudes avec le célèbre récit : '' La chèvre de monsieur Seguin'', datant du 19ème siècle . Les animaux sont une allégorie de personnes humaines, ces moutons parlent et ont trait pour trait, des manières ou façons de réagir semblables à un individu quelconque. Pour renforcer cela, l'auteur attribue le nom de : « Robin mouton», pour bien accentuer. La personne ou même l'enfant a ainsi plus de facilités a s'identifier a l'animal, il s'attache au mouton et sera donc encore plus touché du malheur qui arrivera a l'animal. L'hyperbole « Et qui m'aurait suivi jusques au bout du monde» v. 8, illustre l'amour et l'attachement du mouton pour Guillot, étant le berger. L'auteur crée une satire, un humour en prononçant un discours en la faveur du mouton au v.15, « de Robin la mémoire célèbre» , le lecteur en rit car ces hommages sont réservés aux êtres humains et non aux animaux et encore moins aux moutons ! Cela rend la lecture du texte plus agréable, amusante et montre encore une fois qu'elle est ouverte à tous. La satire attire vers le comique .La lecture commence avec une lamentation sérieuse mais aussi inquiétante de la part du berger vu qu'il s'agit d'une '' oraison funèbre '' ce qui accentue le comique. Le lecteur qui a du mal à expliquer la relation entre Robin et Guillot. Pour accentuer la dramaturge de ce passage , l'exclamation est utilisée