Le mal
Plan
A. Dogmatique. (« Mon enfant (…) de me sentir accablé de ta grandeur. » pp.51-83) 1) Le vicaire relate comment il en vint à douter de la distinction du bien et du mal. (« Mon enfant (…) chez les athées il serait croyant. » pp.51-55) a) Le vicaire présente sa profession de foi comme l’expression de son cœur. Ayant la raison en commun avec son interlocuteur, cette profession de foi peut être valable pour tout autre homme. (« Mon enfant (…) pourquoi ne penseriez-vous pas comme moi ? » p.51) b) L’histoire du vicaire. (« Je suis né pauvre et paysan (…) athées il serait croyant. » pp.51-55) (1) Comment on choisit la prêtrise comme une supposée meilleure profession que celle de paysan pour le futur vicaire. Il apprit passivement. Bientôt son vœu de chasteté comme prêtre catholique fut contredit en lui par la nature. (« Je suis né pauvre et paysan (…) plus que je ne pouvais tenir. » p.51) (2) La conscience est plus forte que les lois sociales. Elle est conforme à la nature qu’on ne peut combattre en vain. (« On nous dit que la conscience (…) peut céder sans crime. » pp.51-52) (3) Sa sexualité et le mariage. C’est son respect pour l’institution du mariage et sa sincérité qui le perdirent. En séduisant une femme non mariée, il causa un scandale qu’on lui imputa en tort. Il en fut vilipendé. (« Dès ma jeunesse (…) faute pour échapper au châtiment. »p.52) (4) Cette expérience amena l’apparition tardive de son incrédulité par comparaison avec la précoce incrédulité de son jeune disciple. (« Peu d’expériences pareilles (…) plus difficile à détruire. » pp.52-53) (5) Son doute, différent de celui de Descartes (1596-1650) parce que subi et non voulu, le gène car il