Les théories classiques

Sommaire

I) INTRODUCTION 3
II) L’ÉCOLE CLASSIQUE (1900) 3
II.1 TAYLOR (1856-1915) 3
i) L’organisation scientifique du travail 3 ii) Les limites du taylorisme 4
II.2 FAYOL (1841-1925) et la gestion administrative du travail 4
i) La fonction administrative (fonction de direction) 4 ii) Critiques 4
II.3 WEBER et la bureaucratie 4
i) Ses fondements 4 ii) Avantages : 5 iii) Inconvénients : 5

I) INTRODUCTION
Une entreprise a un objectif économique : produire des biens, réaliser des prestations de services en vue de réaliser un profit.
10 écoles se sont succédées depuis le début des siècles : l'école classique, l’école des relations humaines, l’école mathématique, l’école des systèmes sociaux, l’école sociotechnique, l’école néoclassique, l’école de la théorie des systèmes, l’école de Mintzberg, l’école de la culture d’entreprise, l’école du changement organisationnel, de la flexibilité, de la valeur, de l'efficacité.
II) L’ÉCOLE CLASSIQUE (1900)
L'école classique est née au cours de la 2° révolution industrielle. Cette école s'est développée dans 2 directions : l'organisation scientifique du travail et l'organisation administrative du travail.
II.1 TAYLOR (1856-1915)
i) L’organisation scientifique du travail
Trois principes clés ont été retenus :
Ergonomie pour perfectionner, organiser les postes de travail, réduire la pénibilité ;
Chronométrage de la production ;
Amélioration de la productivité.
Les techniques de l’OST
«One best way» : c’est la meilleure façon de procéder.
Il faut diviser l'entreprise en 2 grands groupes : ceux qui organise le travail et ceux qui l'exécute.
Parcellisation des tâches : elle est accompagnée d’un entraînement des ouvriers. Cela contribue à augmenter le rendement de l’entreprise. Il y a eu une division entre les concepteurs et ceux qui appliquent les méthodes.
Mise en place dune réglementation formalisée des comportements et des récompenses évitant tous abus.
Mise en place d’un