Berbères

Kateb Yacine est né vraisemblablement le 2 août 1929 (peut-être le 6 août) à Constantine mais se trouve inscrit à Condé Smendou, aujourd'hui Zighoud Youcef. Il est issu d'une famille berbère chaouis[1],[2] lettrée de Nadhor, actuellement dans la wilaya de Guelma, appelée Kheltiya (ou Keblout). Son grand-père maternel est bach adel, juge suppléant du cadi, à Condé Smendou (Zighoud Youcef), son père avocat et la famille le suivent dans ses successives mutations. Le jeune Kateb (nom qui signifie « écrivain

l'Algérie était la seule colonie de peuplement de l'empire français et comptait un million d'habitants européens en 1950. Elle était administrée comme la métropole : on y trouvait trois départements. Cependant, les populations musulmanes (Arabes et Berbères) n'obtiennent pas une réelle égalité des droits ni une représentation politique. Le 1er novembre 1954, le Front de libération nationale (FLN) lance une vague d'attentats. Le 18 mars 1962, les accords d'Évian sont signés et mettent fin à la guerre

prolétarisation" dont l'espoir réside dans les études que peuvent faire les enfants pour devenir enseignant, avocat ou membre de l'administration impériale. Le père d'Augustin est un berbère romanisé citoyen romain païen du nom de "Patricius", d'origine modeste qui n'a pas fait d'études. Son épouse, Monique est une chrétienne berbère Ses expériences et ses activités : Il est l’un des quatre Pères de l'Église latine (avec saint Ambroise, saint Jérôme et Grégoire Ier) et l’un des 35 docteurs de l’Église.

le pays subit des choix et des préférences quelques peu forcées. A ce titre les minorités berbères n’ont pas été respectées ni du point de vue langue ni de respect de l’identité. En effet, même les prénoms de connotation berbères ont été interdits. La langue adoptée dans l’administration et dans l’éducation est exclusivement l’arabe. Les manuels scolaires ne comportaient aucune référence à l’identité berbère. Du point de vue culturel, la libye est un pays richement doté en ruines romaines spectaculaires

de jouissance Action pour sortir de l’indivision Deuxième partie : la légalité des droits réels coutumiers immobiliers, et l’application exclusive de la loi: La coutume en dialecte marocaine c’est le « qu’aida » ou « l’âda » et dans les tribus berbères on les appelle « azref », c’est l’ensemble des pratiques et habitudes qui régirent les rapports entre les habitants des tribus marocains et qui se transmettent d’une génération à une autre. Certains auteurs français dans le cadre d’une mission scientifique

de statuts différents cohabitent . Nous avons d’une part, ce que le discours officiel a tendance à nommer, la langue nationale (l’arabe classique) et les langues étrangères(le français principalement), d’autre part, les langues maternelles : le berbère(le kabyle, le chauvi…)et l’arabe dialectal. Au sein de ces langues, de nombreuses variations linguistiques prédominent, elles sont généralement tributaires de la région ,de normes sociales et culturelles. En effet, d’une région d’Algérie à une autre

Le Maroc se dit en berbère lmṛṛuk (ⵍⵎⵕⵕⵓⴽ en tifinagh), nom qui dérive de la prononciation Amur n'wakuc (« Amour » qui signifie « pays » et « Akouch » qui veut dire « Dieu » ce qui donne la « Terre de Dieu » ou la « Terre sainte »)14. Une autre étymologie donne l'interprétation de « terre de parcours15. » C'est aussi ce mot qui a donné le nom de Marrakech16. Le Maroc se dit en arabe al-Maghrib (المغرب), ce qui signifie « le couchant » ou « l’Occident17 » (littéralement : « le Maghreb »). Ce même

du pays est de 710 000 km². La monnaie s’appelle le dirham. Les langues officielles sont l’arabe et le berbère (le français est souvent utilisé dans la vie professionnelle et la langue espagnole au Nord du Maroc). Le régime est une Monarchie constitutionnelle. Le chef d’état est le roi Mohammed VI.  La ville la plus visitée est Marrakech. HistoireLes premiers habitants du Maroc sont les berbères. Au VIIIe(15) siècle, la première dynastie arabe s'installe au Maroc. Le 18 novembre 1956, la France signe

(Mordekhaï), et entièrement et exclusivement arabo-berbère (Benillouche) ; mais Alexandre Mordekhaï Benillouche rêve d’être simultanément les trois à la fois et c’est là que réside son ambiguïté. À l’exemple de Samba Diallo, le personnage de Cheikh Hamidou Kane dans L’aventure ambiguë, qui souffre d’être hybride, ne pouvant séparer sa double culture, occidentale et africaine, Alexandre Mordekhaï tente aussi de concilier ses cultures française, juive et arabo-berbère. Nous voici placés au coeur même de la problématique

division du travail était assez avancée, dont la langue n’était pas différente de celle d’Homère, mise à part l’écriture, et où se trouvaient déjà les grands dieux ouraniens : Zeus, Athéna, Poséidon, Dionysos. L’Iliade en fait un peu des « caïds berbères », ignorant l’écriture (une seule fois mentionnée dans l’Iliade, de manière très vague) ; et on voit bien le substrat asiatico-égéen de la religion homérique, à prépondérance féminine (cf. Hélène, Arétè…) Ainsi Homère a-t-il ignoré aussi bien la